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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:27:30Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-01198639v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-01198639v1</identifier> <datestamp>2018-01-11</datestamp> <setSpec>type:COMM</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-RENNES1</setSpec> <setSpec>collection:CNRS</setSpec> <setSpec>collection:INRIA</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:IRSET</setSpec> <setSpec>collection:IFR140</setSpec> <setSpec>collection:BIOSIT</setSpec> <setSpec>collection:BIOENVIS</setSpec> <setSpec>collection:UR1-UFR-SVE</setSpec> <setSpec>collection:STATS-UR1</setSpec> <setSpec>collection:UR1-HAL</setSpec> <setSpec>collection:UR1-SDV</setSpec> <setSpec>collection:EHESP</setSpec> <setSpec>collection:USPC</setSpec> <setSpec>collection:IRSET-2</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-ANGERS</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Sérologie aspergillaire : résultats de l’enquête SFMM auprès d’experts français</title> <creator>Persat, F.</creator> <creator>Gangneux, J. P.</creator> <creator>Hennequin, C</creator> <contributor>Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive (LBBE) ; Université Claude Bernard Lyon 1 (UCBL) - Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (Inria) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <contributor>Institut de recherche, santé, environnement et travail [Rennes] (Irset) ; Université d'Angers (UA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Université de Rennes 1 (UR1) - École des Hautes Études en Santé Publique [EHESP] (EHESP) - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique )</contributor> <contributor>Department of oncology ; Groupe Hospitalier Saint-Louis-Lariboisière- Fernand-Widal</contributor> <description>National audience</description> <source>Congrès de la SFMM</source> <coverage>Talence-Bordeaux, France</coverage> <identifier>hal-01198639</identifier> <identifier>https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01198639</identifier> <source>https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01198639</source> <source>Congrès de la SFMM, 2015, Talence-Bordeaux, France. 25 (3), pp.221, 2015, 〈10.1016/j.mycmed.2015.06.012〉</source> <identifier>DOI : 10.1016/j.mycmed.2015.06.012</identifier> <relation>info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.1016/j.mycmed.2015.06.012</relation> <language>fr</language> <subject>[SDV] Life Sciences [q-bio]</subject> <type>info:eu-repo/semantics/conferenceObject</type> <type>Conference papers</type> <description lang=fr>Objectifs La recherche d’anticorps anti-aspergillaires est une analyse essentielle au diagnostic des formes chroniques d’aspergilloses. De nombreuses techniques sont disponibles, commerciales ou non, regroupées par la nomenclature française en méthodes de dépistage et de confirmation. La SFMM a mené en janvier–février 2015 une étude de type « avis d’expert » sur les performances de ces techniques et leur stratégie de mise en œuvre. Méthodes Quarante experts ont été sollicités pour répondre à un questionnaire en ligne comprenant 37 questions. Les réponses, obligatoires pour tous les items, devaient être cotées de 1 à 9 selon l’accord total (9) ou le désaccord total (1) de l’expert. L’analyse a été faite sur la valeur de la cote médiane et les coefficients de variation (écart-type/moyenne) pour juger de la variabilité des réponses. Résultats Trente-six questionnaires ont été complétés. Les CV des réponses allaient de 10 % à 75 %, seuls 38 % d’entre eux étant supérieurs à 50 %. La distinction entre méthode de dépistage et méthode de confirmation est globalement jugée comme pertinente (médiane = 7) mais un positionnement clair des techniques en dépistage ou confirmation n’est obtenu avec un CV inférieur à 30 % que pour l’Elisa en dépistage et l’immunoélectrophorèse et le western blot en confirmation. La pratique d’une technique de confirmation est essentiellement recommandée en cas de positivité de la méthode de dépistage (médiane = 9 ; CV = 14 %), en fonction du contexte clinique (8 ; 31 %) ou lors d’un suivi (8 ; 33 %). En cas de discordance entre méthode de dépistage et de confirmation, les experts recommandent une interprétation directe des résultats en donnant priorité aux résultats de la méthode de confirmation (en fonction du dossier du patient) (8 ; 28 %). Conclusion Cette enquête montre l’absence de consensus sur la stratégie de détection des anticorps anti-aspergillaires et doit inciter les mycologues français à harmoniser au mieux leurs pratiques, afin de répondre à la demande des cliniciens</description> <date>2015</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>