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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:28:00Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-01189259v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-01189259v1</identifier> <datestamp>2018-01-11</datestamp> <setSpec>type:OTHER</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:CNRS</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:INRA</setSpec> <setSpec>collection:AGROPARISTECH</setSpec> <setSpec>collection:ECOFOG</setSpec> <setSpec>collection:ENGREF</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Variabilité spatiale du fonctionnement microbien du sol et de sa stabilité en forêt tropicale humide</title> <creator>Porte, Benjamin</creator> <contributor>Ecologie des forêts de Guyane (ECOFOG) ; Ecole Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts (ENGREF) - Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <description>  Diplôme : Master Recherche</description> <description>il s'agit d'un type de produit dont les métadonnées ne correspondent pas aux métadonnées attendues dans les autres types de produit : DISSERTATION</description> <contributor>Université Montpellier 2 (Sciences et Techniques)</contributor> <contributor>Robert Lensi</contributor> <contributor>Nathalie Fromin</contributor> <contributor>Jean-Christophe Roggy</contributor> <identifier>hal-01189259</identifier> <identifier>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01189259</identifier> <source>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01189259</source> <source>il s'agit d'un type de produit dont les métadonnées ne correspondent pas aux métadonnées atte.. 2006, 30 p</source> <identifier>PRODINRA : 20250</identifier> <language>fr</language> <subject lang=en>FORET TROPICALE HUMIDE</subject> <subject lang=en>PROCESSUS MICROBIEN</subject> <subject lang=en>PERTURBATION</subject> <subject lang=en>SPATIAL VATIABILITY</subject> <subject lang=en>MICROBIAL PROCESSES</subject> <subject lang=en>SOIL</subject> <subject lang=en>HUMID TROPICAL FOREST</subject> <subject>[SDV] Life Sciences [q-bio]</subject> <type>info:eu-repo/semantics/other</type> <type>Other publications</type> <description lang=fr>Notre étude porte sur la caractérisation à l'échelle de l'hectare de la variabilité spatiale (1) du fonctionnement microbien du sol et (2) de sa stabilité (i.e. de sa réponse à un stress). Elle a été menée sur une forêt tropicale humide (forêt primaire) proche de Kourou en Guyane (site de Paracou). Les indicateurs fonctionnels utilisés sont les potentiels d'activités respiratoires (RP) et dénitrifiantes (OP). La variabilité spatiale du fonctionnement microbien du sol a fait l'objet d'un nombre important d'études mais très peu d'entre elles ont concerné ce type d'écosystème. Un autre aspect novateur réside dans la recherche de la variabilité spatiale de la stabilité du fonctionnement. A notre connaissance, il s'agit de la première étude de ce type en milieu tropical comme en milieu tempéré. Les principales conclusions sont les suivantes : (1) à l'échelle 10m (grille principale) les coefficients de variation (CV) des potentiels de fonction sont similaires pour les 2 processus et élevés (RP : 53% ; OP : 54%) au regard des valeurs de la littérature sur des milieux tempérés, mais RP et OP présentent des variabilités spatiales différentes à des échelles inférieures ; (2) l'utilisation d'un indice de densité locale (ID) des arbres n'a pas permis de mettre en évidence une corrélation entre les répartitions spatiales de la végétation et du fonctionnement microbien du sol. De même, aucun déterminisme clair de l'intensitè des potentiels microbiens n'a pu être dégagé par la prise en compte de la variabilité des caractéristiques physico-chimiques du sol; (3) un stress thermique génère à très court terme (résistance) un accroissement de la spatialisation du potentiel de respiration. A plus long terme, la variabilité inter-échantillons s'atténue pour retrouver ses valeurs initiales et, (4) l'activité originelle (avant stress) n'est pas corrélée avec la résistance et est négativement corrélée aux valeurs observées 15 et 30 jours après le stress. Outre son intérêt intrinsèque, cette étude vise à se doter de données de « cadrage » sur la forêt primaire (non perturbée) qui nous permettront d'accéder à de meilleures évaluations et compréhensions des mécanismes impliqués dans la réponse des écosystèmes tropicaux à l'anthropisation lors de projets en cours. Un exemple de ce type d'application est brièvement décrit.</description> <date>2006</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>