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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:34:19Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-00854000v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-00854000v1</identifier> <datestamp>2018-01-11</datestamp> <setSpec>type:ART</setSpec> <setSpec>subject:sdu</setSpec> <setSpec>collection:CNRS</setSpec> <setSpec>collection:GM</setSpec> <setSpec>collection:GIP-BE</setSpec> <setSpec>collection:AGROPOLIS</setSpec> <setSpec>collection:INSU</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:B3ESTE</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-MONTPELLIER</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Hydrodynamique sédimentaire sur le plateau continental du golfe du Lion</title> <creator>LEREDDE, Yann</creator> <creator>MICHAUD, Heloise</creator> <contributor>Risques ; Géosciences Montpellier ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <contributor>Géosciences Montpellier ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <source>ISSN: 1760-8716</source> <source>Revue Paralia</source> <publisher>Editions Paralia CFL</publisher> <identifier>hal-00854000</identifier> <identifier>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00854000</identifier> <source>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00854000</source> <source>Revue Paralia, Editions Paralia CFL, 2008, Xemes journées Génie Civil-Génie Cotier (14-16 octobre 2008, Sophia-Antipolis), pp.111-124. 〈10.5150/jngcgc.2008.011-L〉</source> <identifier>DOI : 10.5150/jngcgc.2008.011-L</identifier> <relation>info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.5150/jngcgc.2008.011-L</relation> <language>en</language> <subject lang=fr>Houle</subject> <subject lang=fr>Courant</subject> <subject lang=fr>Sédiment</subject> <subject lang=fr>Tempête</subject> <subject lang=fr>ADCP</subject> <subject lang=fr>Plateau continental</subject> <subject>[SDU.STU.OC] Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Oceanography</subject> <type>info:eu-repo/semantics/article</type> <type>Journal articles</type> <description lang=fr>L'hydrodynamique du plateau continental du Golfe du Lion est généralement induite par les vents. Les simulations numériques réalisées par les modèles numériques de circulation océanique côtière aux équations primitives sont en général cohérentes avec les observations in-situ. Très peu d'observations étaient toutefois disponibles pendant les épisodes de tempêtes méditerranéennes. Aussi, la station BESSète (Bottom Experimental Station Sète), équipée d'un ADCP mesurant en continu les caractéristiques de houle et les profils verticaux de courants, a été implantée sur le plateau sous 70 m. Les premières données issues de cette station, acquises en février-mars 2007, confirment les schémas de circulations induits par les vents de Nord (Mistral,Tramontane). Un épisode de tempête (Hs>5m) a aussi pu être observé le 18 février 2007. De forts courants dont l'intensité peut atteindre 0,7 ms-1 y sont associés. Cette série de données est ensuite utilisée pour calculer les tensions decisaillements induites sur le fond. Sous 70 m, elles sont en général quasi-nulles excepté pendant l'épisode de tempête où l'action conjuguée des houles et des courants peut induire des contraintes susceptibles de mobiliser et déplacer le sédiment fin présent dans la zone. La très forte intensité des courants mesurés pendant la tempête amènent ensuite à reconsidérer les processus de transferts de quantité de mouvement entre atmosphère, océan et sédiments. Très schématiquement, sur le plateau, dès que la houle interagit avec le fond, la houle se transforme (réfraction, dissipation) et transmettrait de la quantité de mouvement à l'échelle des courants moyens. Cette hypothèse est retenue pour expliquer ces forts courants observés et pourrait être confirmée par d'autres travaux théoriques et numériques.</description> <date>2008-11-26</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>