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| Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 1) Auteur(s) : Tiouka, Alexis Soly, Elsol Jungurman, Remy Abonnenc, Mathieu Othily, Arthur Ateni, Joseph Miranda, Andelie Ruben Van der Bock, Steven Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saramaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI).
Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12021 | Partager
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| Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 2) Auteur(s) : Lacaisse, Patrick Doorson, Ken Ateni, Joseph Miranda, Andelie Othily, Arthur Abonnenc, Mathieu Jungurman, Remy Kapiten Ngwete, Abelli Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saamaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI). Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12022 | Partager
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| Atipa, roman guyanais : ouverture des journées d'étude Auteur(s) : Chalco-Lefay, Rolande Contout, Auxence Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Collectivité Territoriale de Guyane Association Rakaba Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Université de Guyane Extrait de : "Atipa, roman guyanais" : journée d'étude, le 1er décembre 2017. Collectivité territoriale de Guyane Description : Présentation générale des journées d'études par Mme Chalcot-Lefay et M. Contout.
Remerciement de la présidente du Service culturelle de la Collectivité Territoriale de Guyane.
17 janvier 1885 Athénodore Météran "dit Alfred Parépou" a écrit pour ces compatriotes guyanais : "A pou zote oune so mo fait Atipa"
132 ans après , le président de la collectivité territoriale Rodolphe Alexandre, souhaite que le roman soit partagé sur tout le territoire.
Monsieur Auxence Contout est mis à l'honneur avec l'exemplaire du premier roman "Atipa" qu'il a acquis en 1959. Il l'a approfondi et étudier et s'est posé quelques questions
- Quel a été le circuit commercial d'"Atipa", le circuit de distribution a été certainement très exigu. Il y avait de la polémique politique dans ce livre. Celui qui l'a écrit a caché son nom, il risquait gros.
- Quelle était le goût du public pour un roman guyanais tel "Atipa" sans traduction.
- Comment les classes moyennes guyanaises voyaient l'importance de la langue créole en 1885.
Le guyanais à l'époque inévitablement a intériorisé les valeurs de l'idéologie, idéologie coloniale.
Le guyanais ne se rendra pas compte, que dans "Atipa", roman créole, il y a eu une pression en pensée, de l'identité Guyanaise.
Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V18021 | Partager
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| Bal masqué, littérature orale, contes et transgression. L'amour masqué Auteur(s) : Bricout, Bernadette Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Le masque et l'amour au bal paré-masqué.
Comprendre les rituels et lois qui régissent le bal paré-masqué c'est l'inscrire dans le tissu des gestes, des coutumes, des croyances, de la mémoire qui sont ceux de la société guyanaise, inscrite de l'histoire de la Guyane. Le quotidien de la société guyanaise est aujourd'hui encore invisiblement tissé.
Le touloulou n'est pas simplement l'affaire de la Guyane, il est né en Guyane participe à cette identité et en même temps met en jeu des valeurs, des enjeux, des scénarios qui nous renvoi à des questions qui sont universelles.
Si nous souhaitons que le touloulou soit inscrit au patrimoine immatériel de l'humanité par l'UNESCO, c'est parce que cette figure, mobilise des enjeux symboliques, poétiques qui concernent l'amour lui même dans ce qu'il a d'universelle.
Jusqu'en 1994 l'accès de chez Nana se faisait par un petit pond de bois, on entrait dans l'autre monde.
La femme qui devient touloulou, sa première expérience est un abandon de ce qui la définit dans la vie quotidienne. Il épouse le masque qui le fait rentrer dans une communauté nouvelle, celle des touloulous. Il arrive par des chemins de nuit, inconnu des humains. Le touloulou est voué à mourir avec le roi vaval.
Dans l'âge d'or du carnaval, en entrant dans la salle, le touloulou roucoule, il maîtrise le parler oiseau, qui est le langage de l'amour.
Le secret est au coeur de la cérémonie du bal paré-masqué, le touloulou est un donateur sans visage qui pourrait nous apprend quelque chose qui est de l'ordre d'un savoir vivre.
Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17171 | Partager
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| Bal masqué, littérature orale, contes et transgression. La musique carnavalesque : espace de transgression et de renversement Auteur(s) : Debibakas, Audrey Année de publication :
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La littérature tente de s?initier au c?ur de cet espace sacré afin d?appréhender son univers vertigineux et de mieux cerner l'univers carnavalesque. "Extrait de la solitude du touloulou" : les touloulous tournoyaient dans une ronde folle autour des cavaliers lesquels n'attendaient qu'un geste pour démarrer en un tour de rein.
Plusieurs extraits cité :
Marie-Claude Thébia, "la solitude du touloulou", extrait de bois d'ébène et autres nouvelles de Guyane
"La crique" de Sylviane Vayaboury : jeu de bal paré-masqué
L'univers du monde du bal paré-masqué est un monde merveilleux, envoutant, captivant, au coeur duquel, les auteurs cherchent à nous faire pénétrer.
Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17172 | Partager
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| Bals parés-masqués et carnaval en Guyane. La tradition du Randé boutché Auteur(s) : Pindard, Marie-Françoise Année de publication :
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Tradition du Randé boutché : rendre l'invitation.
Divers facettes du carnaval en Guyane. Entre l'attribution du "Randé boutché" au siècle dernier et le 21e siècle,le carnaval à pris de l'ampleur.
En Guyane, ce carnaval se déroule sous plusieurs formes et se décline pratiquement toute la semaine pendant au moins les deux premiers mois de l'année. Il y a 20 ans le carnaval occupait deux axes : les bals parés masqués dans les dancing, le défilé de rue et le vidé le dimanche après midi. Depuis une vingtaine d'année le carnaval à pris de nouvelles formes : soirées carnavalesques sans déguisement en semaine, les parades dans de nombreuses communes de Guyane, les concours de costumes de carnaval, cours de danse de carnaval, soirée tololo ...etc
Le "Randé boutché" dans la tradition, se déroulait en dehors des défilés de touloulou du dimanche après midi, dans la région du plateaux des savanes, la région du "gragé" cette région s'étend de Kourou à Iracoubo.
Pour les soirée "gragé" à la campagne, les habitants n'hésitaient pas à faire des dizaines de kilomètre à pied pour se rendre au lieu de réjouissance.
Durant la semaine les gens allaient dans leurs abattis et le weekend c'est l'organisation de soirées "gragé" et la tradition du "Randé boutché"
Les bals "gragé" pendant le carnaval ont une importance particulière, parce qu'ils sont associés à la tradition du "Randé boutché". Cette tradition se déroule loin des soirées carnavalesques, mais dans l'esprit du carnaval autrement.
La tradition du "Randé boutché" est avant tout, lien et cohésion sociale pour la réalisation d'un fait social total.
A travers un regard anthropologique, cette tradition véhicule un certains nombre de valeur
comme le savoir faire et le savoir vivre, qui reflète l'identité créole.
Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17162 | Partager
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| Bals parés-masqués et carnaval en Guyane. Le bal paré-masqué : une variante des bals masqués, une spécificité du carnaval Guyanais Auteur(s) : Belfort, Aline Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Le carnaval en Guyane est la manifestation festive la plus populaire. Il offre une lecture de la dynamique qui agit la société guyanaise, à travers ces deux fondamentaux : le carnaval diurne et le carnaval nocturne, différent mais complémentaire. Tous deux livrent un aspect festif...
Carnaval nocturne réservé au bal paré-masqué, spécificité guyanaise variante des bals masqués, singularise par un rituel construit autour d'un personnage incontournable : le "touloulou".
Origine et territorialisation du "touloulou" et du bal paré masqué : question récurrente est ce la Guyane, les Antilles française, anglaise ? Ayant tissé au temps de l'or des liens culturels.
Étymologie du terme "touloulou", une hypothèque est posée. Expression aurait pour origine le mot "tourlourou" qui désigne populairement d'après le Littré le jeune militaire d'infanterie le soldat, ce fantassin portait un pantalon rouge... La même source précise encore que le mot "tourlourou" attribuée à des matelots à un petit crabe de terre rouge...
Notons que le personnage carnavalesque comme le crabe, font tous deux références à une personne portant uniforme.
L'origine du mot "touloulou" est bien lié à la Guyane et sa territorialisation date 1891.
Noté que première référence écrite faite au "touloulou" date de 1891 dans le journal "La vigie" décrivant le carnaval. A cette époque, la Guyane est une société de tradition orale et l'emploi de cette expression dans le langage courant est certainement antérieur à
l'écrit. Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17160 | Partager
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| Bals parés-masqués et carnaval en Guyane. Les masques sonores dans le carnaval guyanais : pour une humanité partagée Auteur(s) : Anakesa Kululuka, Apollinaire Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : La musique est art et expression de vie, par le son codifié, elle se matérialise en tant que pratique, s'inscrivant dans un champ artistique et socioculturel soutenu par un circuit communicatif,tout autant spécifique.
La musique a toujours permis aux hommes, de tout temps en tout lieu, de se réapproprier entre autre leur existence, leur dignité d'homme et avec elle, leur humanité.
Dans le domaine carnavalesque, par le jeu musical approprié, se réalise la subtilité du détour et de l'artifice à travers les masques sonores.
La musique cimente des moments intimes aussi bien que collectif, mêlant ici et là divertissement et ritualisation de la vie.
Dans le carnaval guyanais, elle paraît tel un miroir social, une fabrique d'une esthétique collective au cours de laquelle sont érigés en valeur première, le sens de la beauté, de partage, de singularité, de collectivité, mais aussi le sens de l'humanité.
Le masque personnage par l'exultation des corps et des gestuels, venant de tout part à travers le monde, en passant par le masque sonore avec des rythmes plein d'entrain et de sens avec des harmonies et des cadences musicales riches en couleur, en consonance.
Le carnaval de Guyane fait jouir de toute sorte d'affinité qui célèbre le partage, par le goût du fruit que comporte son art, son rituel, et ses musiques dont s'exalte cette présence humaine transculturelle sur la terre Eldorado.
Les masque sonores font retrouver tout le monde : retrouvaille d'une grande symbolique.
Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17163 | Partager
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| Bibliothèque numérique, représentations et dynamique identitaire Auteur(s) : Mencé-Caster, Corinne Pajard, Anne Martin, Frédéric Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : La patrimonialisation n'est pas anodine, en effet les champs du politique et du symbolique sont présents. Ainsi la décision de manière explicite de conserver et de mettre en valeur certains documents, en fait un lieu de questionnement identitaire. La bibliothèque Manioc est adossée à un laboratoire de recherche mais aussi associée à des établissements locaux ce qui permet de dépasser l'angle de la France en Amérique, est d'associer le patrimoine ancien au patrimoine identitaire contemporain. Suivie d'une présentation de Gallica, une bibliothèque numérique encyclopédiste et généraliste, avec le projet, ses buts, ses missions... Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12039 | Partager
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| Clair obscur : représentations littéraires du bal masqué aux Antilles et en Guyane. Le bal masqué, espace baroque par excellence Auteur(s) : Birman Seytor, Jacqueline Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Importance du bal masqué en Guadeloupe. Dès le 17è siècle de nombreux documents attestent de la présence du carnaval en Guadeloupe. A travers les récits des bals masqués qui se déroulent dans des salons, dans son écrit intitulé premier voyage aux Antilles 1640, le révérend père Du Tertre en fait état, tout un passage de son ouvrage décrit un bal de nègres.
Le carnaval est l'heure de la dérision de l'inversion de la révolte permise. Les esclaves profitant de cette situation, ont commencés à parcourir les rues, armés de bâton et de coutelas menaçant la vie des maîtres, les charries varies furent interdits à cette époque, par le procureur général du roi le 11 janvier 1870.
Le bal masqué un espace baroque, le carnaval sur toute les latitudes conjure les peurs et exalte la folie humaine, ce rite est dédié aux dieux de la vie et de la mort. Les acteurs du carnaval jouent avec la mort, risquent leur vie, le masque fantôme dont il se couvre le visage et que l'on appel "larva" qui signifie fantôme ou "masqua" vient nous rappeler que la vie est songe et mensonge.
L'homme qui danse le carnaval n'est que le jouait de son illusion, tous les jours nous revêtons un costume pour nous produire sur la scène du théâtre du monde.
Le bal masqué n'est donc que la pal-copie de la vie.
Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17166 | Partager
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| Clair obscur : représentations littéraires du bal masqué aux Antilles et en Guyane : Le bal paré-masqué, l'amour et la transgression dans "La saison des abatis" (1996) de Lyne-Marie Stanley Auteur(s) : Michel, Monique Anna Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Première romancière guyanaise Lyne Marie Stanley "La saison des abattis" (1996) à Cayenne.
La fête danser costumer et masqué à nourri l'imaginaire des auteurs et de leur protagoniste.
La salle de bal est souvent décrite comme un lieu mythique, mystérieux propice aux rêves aux intrigues amoureuses, aux rencontres fatales.
Lyne Marie Stanley dans "La saison des abattis", dans le chap. 3, s'attache à présenter le bal paré-masqué des "touloulous" : personnage féminin emblématique du carnaval de Guyane. Céphyse, "touloulou" novice découvre l'univers du bal paré-masqué en même temps que l'amour.
Elle transgresse les codes établies qui consistent en autre à préserver l?anonymat.
La première fonction du déguisement est de garantir l'anonymat du "touloulou" personnage unique du carnaval guyanais."
Le frère du "touloulou" est le "tololo" qui signifie en créole guyanais : "ton pénis"
Le rôle essentiel de la parade du touloulou est sans doute, de mettre en valeur la femme, de la magnifier, pour en faire un personnage sublimée, à la fois réelle et virtuelle.
La représentation du bal paré-masqué dans : "La saison des abattis", est une excellente illustration du concept de transgression, dans le cadre de la fête carnavalesque guyanaise.
Pour Jean Thierry Martins, le bal masqué est dans tous les cas un lieu de transgression sémantique.
Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17167 | Partager
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| Clair obscur : représentations littéraires du bal masqué aux Antilles et en Guyane : Le monde convulsé des touloulous dans "Le bois du serpent noir d'Edward Blasse" Auteur(s) : Danglades, Mylène Année de publication :
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Il est le point de mire au niveau de certaine conversation, des devantures de magasins et au niveau dans le milieu des bals masqués revêt l'habit d'apparat qui évolue au fil des temps.
Ce personnage de touloulou aux multiples attraits et cela dans l'optique de converger tous les regards vers lui.
Le touloulou, lui, entend régenter à sa guise les espaces dédiés à la danse.
Le carnaval est sujet à de nombreuses interprétations et inspire de nombreux écrivains.
Le bal paré masqué guyanais dans "le bois roman du serpent noir", (Bernard Blasse, 1980) est entrevu comme une délivrance, le signe d'une renaissance pour la cité et dès lors, tout s?orchestre avec frénésie, autour de cet événement mémorable.
Le carnaval et en l?occurrence le bal paré est pour certain, un monde commun et imaginé des possibles un monde ardent et convulsé autour d'un personnage phare, éphémère, mais qu'en est-il somme toute, des lendemains festifs quand les masques tombent et l'humain lui, renvoyé à son quotidien ?
Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17165 | Partager
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| Clair obscur : représentations littéraires du bal masqué aux Antilles et en Guyane. L'imaginaire carnavalesque dans l'oeuvre de Patrick Chamoiseau : La Marianne Lapofig Auteur(s) : Corinus, Véronique Année de publication :
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Le masque Marianne Lapofig, figure dans le carnaval martiniquais : son costume est fait, d'un amas de peau de bananes séchées, surmonté d'un masque qui cherche à reproduire la tête d'un ours.
Le masque a été créé, suite à un incident qui a mis à la fin du 19è siècle au début du 20è siècle, la ville de Saint-Pierre en émoi. Un ours qui se serait échappé d'un cirque, qui se produisant dans la cité, emmenant la troupe à lui substituer une dénommée Marianne, qui fut affublée de feuilles de bananes séchées, en lieu et place de l'animal qui n'était plus là.
Cette mésaventure, a inspiré à certains carnavaliers, la confection d'un costume de feuilles, ainsi que l'invention de son exhibition, durant le carnaval, cet ours végétal est accompagné de deux comparses, l'un, représentant le dompteur qui le tien en laisse, tandis que l'autre, le fait danser au rythme de ses musiques.
Dans l'oeuvre de Chamoiseau, la danse de Marianne était classique, familière dans le carnaval jusque dans les années 50. Son masque s'est imposé dans son imaginaire, on voit apparaitre la silhouette de Marianne de façon discrète mais avec insistance dans ses ?uvres.
Le masque Marianne est souvent associé à un autre masque rouge dit "maque du diable" et les deux constitue une sorte de binôme métonymique du carnaval.
Chamoiseau reprend la tradition du carnaval, sans y laisser contraindre acceptant de la transformer, de la recréer, de la faire évoluer, montrant une richesse à refaçonner.
Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17168 | Partager
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| Construire et faire vivre un musée, l'approche participative Auteur(s) : Chaves, Carlos De Pauw, Wim De Souza Cyrillo, José Miguel Dos Santos, Cleide Martins Elibox, Tony Forte, Enildo Batista Fradet, Guillaume Ioio Labonté, Helio Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Rencontres transfrontalières Oyapock, les 1er et 2 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : Qu'arrive-t-il lorsque une population s'empare du musée, se l'approprie et en fait un espace de rencontre, de débat, de partage ? L'idée d'un musée plus proche des populations s'est développée en France et dans le monde à partir des années 1970, sous l'appellation éco-musée,musée-communautaire. Parmi ses objectifs : replacer l'homme au centre du musée, renforcer son appartenance au territoire et permettre aux habitants de devenir acteur de la préservation de leur patrimoine dans un contexte de mutation rapide des modes de vie. C'est à ce musée-participatif que l'atelier sera consacré à travers plusieurs exemples guyanais et brésiliens. Comment construire un musée participatif ? Quelle médiation utiliser ? Comment susciter l'adhésion de la population locale ? Et, une fois mise en place, comment utiliser le musée ? Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13110 | Partager
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| Dynamiques régionales des langues dans l'espace public. Les langues dans l'espace judiciaire Auteur(s) : Camara, Hamady Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : Séminaire préparatoire aux états généraux du multilinguisme dans les Outre-mer, le 27 mars 2021. Université de Guyane Description :
affaires sanitaires, sociales (services publics), associations humanitaires, d'entraide, sociales, centres médico-sociaux, conseils conjugaux, familiaux, conseils en économie privée, sociale, familiale, médiation familiale, tribunaux, centres de médiation
Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V21045 | Partager
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| "Eduquer aujourd'hui". Pédagogie : des lieux communs aux concepts clés. Débat Auteur(s) : Meirieu, Philippe Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Institut Universitaire de Formation Continue de l'Université de Guyane Description : Quelques interventions orales avec réponses de Monsieur Meirieu.
Question : Quel parallèle dressé entre le milieu scolaire et le secteur social ?
Les différents parallèles entre le milieu scolaire et le secteur sociale, une convergence celle d'aider le jeune à se structurer dans le milieu scolaire à travers l'acquisition des savoirs, dans le milieu sociale par l'aide à occuper une place, à stabiliser sa situation personnel, pour développer un projet dans la société.
Le rôle de l'éducateur est de développer la pensée.
Dans les deux cas, on se met au service de la dynamique de la personne, en respectant la spécificité de l'autre et se connaître surtout dans le travail ensemble, sur des situations difficiles.
Si on veut aller au delà de la bonne organisation, si on veut que la classe soit un lieu de sérénité, de débat argumenté, un lieu ou les apprentissages soient prioritaire, il faut parfois arrêter, mettre tout le monde dans une condition d'écoute, permettre à chacun de s'exprimer.
Il est nécessaire aujourd'hui que le monde dans lequel vivent nos élèves est un monde dans lequel il y a la violence qu'ils découvrent et comprennent qu'à l'école, ce n'est pas la violence qui fait la loi.
Dans une étude publiée sur le site de Monsieur Meirieu : les enseignants sont assignés à beaucoup plus de fermeté linguistique, c'est la fermeté du cadre que l'on crée et au sein duquel va pouvoir se dérouler l'apprentissage. L'école est le lieu de l?exigence sur une parole claire, ferme, précise.
Pour territoire comme la Guyane, il faut se donner un peu plus d'objectif : internat,de micro lycée, de transport public plus évolué, d'internat un peu mieux encadré avec une dimension pédagogique et culturelle.
Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17217 | Partager
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| Gouvernance et développement durable Auteur(s) : Gaillou, José Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "La question de la gouvernance territoriale dans les régions et départements français d'Amérique" : journées d'étude, les 8 et 9 avril 2012. Campus de Troubiran Description : Le développement durable repose sur 4 piliers, l'environnement, la culture, l'économie et la politique. En Guyane, la croissance démographique élevée a un impact fort sur la partie environnementale. En politique, il existe par aussi une défiance locale et nationale importante si bien qu'un fossé s'est durablement creusé entre la rue et le pouvoir. En parallèle, l'état se réapproprie la Guyane, notamment en ce qui concerne le schéma d'aménagement du territoire. Enfin, pour les communes de l'intérieur, le parc répond a des besoins qui relèvent normalement des compétences des collectivités, ce qui complique encore plus la gouvernance locale. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12231 | Partager
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| La commercialisation de l'artisanat Auteur(s) : Awaeko Apalai, Cecilia Civette, Henri Delgrange, Christelle Dos Santos Almeida, Bruna Dummett, Olivier Fleury, Marie Tiriyo, Diacui Fontaine, Mélanie Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Rencontres transfrontalières Oyapock, les 1er et 2 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : La production d'objets et de produits usuels ou décoratifs, particulièrement importante chez les populations amazoniennes, trouve un nouveau souffle avec le développement de l'artisanat. En effet, au delà de la dimension économique, le maintien d'une production artisanale contribue à la valorisation et à la transmission de nombreux savoirs, techniques et matériaux traditionnels. A travers les témoignages proposés dans cet atelier et les débats qui s'ensuivront, nous tenterons d'identifier les moyens mis à disposition des artisans en Guyane et au Brésil ainsi que la manière dont est structurée l'offre de produits artisanaux : les réseaux, les circuits commerciaux et les filières de distribution favorisés. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13112 | Partager
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| La conservation du patrimoine culturel immatériel (Partie1) Auteur(s) : Alupki, Tasikalé Mouzard, Thomas Norino, Ady Apalai Waiana, Arinaware De Cassia Ribeiro, Simone Lourens, Erienne Wajãpi, Tapajona Graça Estavao, Reginaldo Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Rencontres transfrontalières Oyapock, les 1er et 2 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'adoption par l'UNESCO en 2003 de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel
immatériel a officialisé une rupture dans la notion de patrimoine et a contribué à instaurer de nouvelles dynamiques au sein des groupes ethniques et culturels du monde entier. Sur le plateau des Guyanes, où les traces patrimoniales immatérielles se distinguent par leur importance et leur diversité, de nombreux acteurs oeuvrent à la conservation et à la valorisation du patrimoine intangible. C'est à travers les exemples des expressions orales et graphiques wayãpi, du rituel maraké et d'autres, que nous aborderons la question du patrimoine culturel immatériel : les différentes manières de le préserver et de le valoriser ainsi que les conséquences de cette valorisation. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13108 | Partager
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| La conservation du patrimoine culturel immatériel (Partie2) Auteur(s) : Wajãpi, Tapajona Fremaux, Céline Goguillon, Bertrand Graça Estavao, Reginaldo Guigui, Catherine Labonte, Berchel Lourens, Erienne Mouzard, Thomas Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Rencontres transfrontalières Oyapock, les 1er et 2 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'adoption par l'UNESCO en 2003 de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel
immatériel a officialisé une rupture dans la notion de patrimoine et a contribué à instaurer de nouvelles dynamiques au sein des groupes ethniques et culturels du monde entier. Sur le plateau des Guyanes, où les traces patrimoniales immatérielles se distinguent par leur importance et leur diversité, de nombreux acteurs oeuvrent à la conservation et à la valorisation du patrimoine intangible. C'est à travers les exemples des expressions orales et graphiques wayãpi, du rituel maraké et d'autres, que nous aborderons la question du patrimoine culturel immatériel : les différentes manières de le préserver et de le valoriser ainsi que les conséquences de cette valorisation. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13109 | Partager
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| La loi de 1946 : enthousiasme et désillusion Auteur(s) : Bélénus, René Année de publication :
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La loi de départementalisation du 19 mars 1946 annonçait tout un ensemble de mesures politiques, économiques et sociales destinées à impulser le développement des anciennes colonies (Guadeloupe, Guyane, Martinique et Réunion), dans une logique de rattrapage et d'égalité avec la France. Soixante dix après (1946-2016), ces territoires ont connu différents parcours ; qu'en est-il de leur développement et que reste t-il de cette loi après les évolutions administratives (décentralisation acte 1. 2 et 3) et les choix d'évolution institutionnelle ? Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16053 | Partager
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| La nouvelle Guyane, terre promise coloniale (1858 - 1900) Auteur(s) : Lamaison, Denis Année de publication :
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Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16222 | Partager
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| La place de la Guyane dans l'espace savant des Lumières Auteur(s) : Regourd, François Année de publication :
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| La place des jésuites dans le patrimoine éducatif guyanais Auteur(s) : Cherrad, Sonia Année de publication :
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| La question de l'esclavage dans les nouveaux projets pour la Guyane française de la période Laussat (1819-1823) Auteur(s) : Puyo, Jean-Yves Année de publication :
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| La question haïtienne en Guyane. Constructions identitaires et usages des identités Auteur(s) : Laëthier, Maud Année de publication :
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| L'arrivée en Guyane : les grands témoins Auteur(s) : Ya Ma, Augustin Ya Ma, N'Dzeu Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Collectivité Territoriale de Guyane CTG : Collectivité Territoriale de Guyane Extrait de : "Conférence pour le 40e anniversaire de l'arrivée des Hmong en Guyane", le 5 septembre 2017. Collectivité territoriale de Guyane Description : Sur l'arrivée des Hmong en Guyane.
Grands témoins de l'année 1977 :
-M. LAU
-M. Augustin YA MA
-Mme N'Dzeu YA MA : la vie des femmes.
Intervention de M. Jean YA SAI PO Président du comité d'organisation des fêtes de Cacao (premier né à Cacao)
Témoignage de Monsieur Ya Ma Augustin :
D'après le récit, la première vague de Hmong arriva le 05 septembre 1977, dispersés et éloignés de la population guyanaise qui manifestait contre leur installation.
En un mois, 11 ha ont été défrichés à la main, les femmes ont fagoté les premiers légumes.
507 personnes pour monter la structure du village de Cacao, divisé en 4 quartiers afin faciliter le travail collectif. "S'il n'y a pas de volonté, il n'y a pas de réussite".
La jeunesse du monde agricole doit prendre la relève et les autorités locales, mener la Guyane vers une diversité, une transformation afin que le monde agriculture trouve sa place.
Intervention de Madame Ya Ma, N'Dzeu. Nostalgique, d'avoir quitté son pays avec la crainte de ce qu'ils allaient découvrir.
Les premiers essaies agricoles fut difficiles, l'apprentissage de l'agriculture était faits sur le tas.
Les jeunes Hmong aujourd'hui se sont intégrés, ont choisi d'être agriculteurs, ils pratiquent aussi d'autres métiers : docteurs, infirmiers, ingénieurs.
Par leur intégration, ils se sentent guyanais. Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17223 | Partager
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| L'art contre les violences faites aux femmes : l'exemple de la Guyane Auteur(s) : Harpin, Tina Faberon, Florence Porte, Leslie Manera, Giulia Mulla, Ahmed Faberon, Florence Harpin, Tina Porte, Leslie Auteurs secondaires : Manera, Giuilia Mulla Ahmed Primerose, Antoine Primerose, Antoine Année de publication :
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| La traite atlantique vers la Guyane : XVIIe au XVIIIe siècles Auteur(s) : Polderman, Marie Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe-XIXe siècle" : colloque international, du 16 au 19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane Description : Mme Polderman présente une esquisse de l'histoire de la Traite vers la Guyane entre 1664 et 1829, deux dates qui bornent les données d'archives disponibles à ce jour. Une première partie porte sur l'analyse du journal de bord d'une escadre qui entre 1695 et 1697 déporte plus de 150 esclaves vers la Guyane. A cette époque, la France essaie de s'affirmer en tant que puissance coloniale. Outre les données maritimes, ce manuscrit précise les luttes d'influences locales et les rencontres humaines lors du voyage, donnant ainsi un aperçu des différents enjeux de l'expédition. A travers les données de la base universitaire internationale slavevoyage, http://www.slavevoyages.org/tast/index.faces, la deuxième partie approche la réalité de la traite atlantique vers la Guyane : chiffres, acteurs, lieux, conditions, spécificité et part dans le contexte global de la traite atlantique . Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11052 | Partager
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| Le bal et le masque carnavalesques, un enjeu patrimonial. Discussion Auteur(s) : Harpin, Tina Corinus, Véronique Danglades, Mylène Michel, Monique Anna Birman Seytor, Jacqueline Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Différence entre les bals masqués d'ailleurs et les bals paré-masqués de Guyane.
Le bal paré-masqué de Guyane renvoi à la séduction du touloulou par le costume qu'il porte, il est dans l'exhibition.
Il comporte un avant, un pendant, et un après dancing. Les femmes se préparent et vont se retrouver dans la plus grande discrétion, pour préparer leurs toilettes, s'habiller ensemble, vont être marrainées avec quelqu'un de plus âgé qui leurs transmettent les codes, les symboles, les rites : l'anonymat, l'anonymat à travers le vêtement, le parlé, la démarche...etc.
Le bal paré-masqué de Guyane, c'est tout un ensemble de rite, ce qui le distingue des autres bals masqués d'ailleurs.
Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17169 | Partager
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| Le bal et le masque carnavalesques, un enjeu patrimonial. Un patrimoine menacé : la sarabande des mascare Auteur(s) : Poli, Muriel Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Focus sur le carnaval en Corse tel qu'il a vécu. La sarabande des "mascare" : un cortège de personnes masquées, apparu dans la première partie du XXe siècle jusqu'aux années 60. Le carnaval s'est délité et on se contente de simple défilé de chars de façon beaucoup plus édulcoré, moins encré dans la culture traditionnelle. Deux entrées : satirique et des rapprochements amoureux qui était permis pendant cette période de transgression ou tout le monde s'accordera à dire qu'il s'agit d'une période d'exutoire et de transgression. Les sources au niveau de la méthode. Les sources remontent au plus loin pour la langue Corse et les témoignages sur cette culture Corse et les rites carnavalesques, à la correspondance militaire de Pascal Paoli faisait état du carnaval comme étant une fête très importante pour la communauté locale,des folkloristes dont les témoignages date du début du XXe siècle essentiellement et de témoignages oraux beaucoup plus actuels avec le laboratoire linguistique : la BDLC (Banque de donnée de langue Corse). Différence entre le carnaval de ville et carnaval de l'intérieur. En ville,défilé de char et cortège, un bal masqué le soir, qui terminait le carnaval réservé à une certaine élite de la population. Dans le rural, la fête était beaucoup plus populaire, partagée, il s'agissait de cette sarabande des "mascare", qui se promenait dans le village. La finalité c'était de mettre un terme au repos hivernal pour la majorité des personnes qui était : des agriculteurs, cultivateurs dans l'intérieur et de manière plus générale, un défouloir avant les privation du carême, période allant jusqu'au mercredi des cendres. Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17117 | Partager
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| L'esclavage et le conte créole guyanais Auteur(s) : Guyot, Philippe Année de publication :
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| Les communications intérieures en Guyane Française sous l'ancien régime (1664-1794) Auteur(s) : Leroux, Yannick Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe-XIXe siècle" : colloque international, du 16 au 19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane Description : Les amérindiens avaient déjà des pistes pour le commerce et la guerre, ainsi sur le Maroni, il existait plus de 240 km de sentier. Seulement, ce sont des voies de communications encombrées, sinueuses, étroites... Durant la deuxième moitié du XVIIe siècle, les gouverneurs songent à développer des routes dans la Guyane. La construction et l'entretien des chemins, principalement dans la zone colonisée (ile de Cayenne et ses alentours) est réalisées par la corvée et la réquisition des soldats. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11058 | Partager
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| Les guyanais regardent les guyanais : débat Auteur(s) : Ureña Rib, Pedro Ureña Rib, Pedro Ureña Rib, Pedro Auteurs secondaires : Bernabé, Jean Bertin-Elisabeth, Cécile Cruz, José Manuel Bernabé, Jean Bertin-Elisabeth, Cécile Cruz, José Manuel Bernabé, Jean Bertin-Elisabeth, Cécile Année de publication :
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| Les langues de Guyane : logique patrimoniale et enjeux de développement Auteur(s) : Launey, Michel Année de publication :
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| Les regards croisés, le discours et l'identité Auteur(s) : Charaudeau, Patrick Année de publication :
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| Les tentatives de réglementation du pouvoir domestique de correction sur les esclaves en Guyane Française Auteur(s) : Charlin, Frédéric Année de publication :
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| Les vanilles de la Guyane, entre or vert et or noir, un patrimoine révélé Auteur(s) : Prevot, Ghislaine Année de publication :
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| L'image des marrons et du marronnage dans l'enseignement de l'Histoire en Guyane et en France hexagonale Auteur(s) : Ebion, Sarah Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : A.P.F.OM : Association des Peuples des Fleuves Oyapock-Maroni AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane Extrait de : "Les marronnages et leurs productions sociales, culturelles dans les Guyanes et le bassin caribéen du XVIIème au XXème siècle : bilans et perspectives de recherche" : colloque pluridisciplinaire, du 18 au 21 novembre 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : Colloque « Les marronnages et leurs productions sociales, culturelles dans les Guyanes et le bassin caribéen du XVIIème au XXème siècles : bilans et perspectives de recherche ; Dire, montrer, penser le marronnage (traditions orales, littérature, arts, musées)»
Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14300 | Partager
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| L'inceste comme métaphore, ou vision critique de la terre promise : trois oeuvres littéraires de la région amazonienne. Auteur(s) : Maximin, Colette Année de publication :
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Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16090 | Partager
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| Manioc : une civilisation Auteur(s) : Huyghues-Belrose, Vincent Année de publication :
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| Mémoires de l'esclavage dans la société guyanaise Auteur(s) : Choucoutou, Lydie Année de publication :
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| Ouverture du colloque international Auteur(s) : Laganier, Richard Monique, Blérald Mare-Corinne, Lacascade Auteurs secondaires : Aline, Belfort Alex, Madeleine Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Ce colloque bals masqués et d'ailleurs : identités imaginaires en question, constitue un vrai défi, une vrai gageure. C'est une première en Guyane de mettre en place un colloque portant sur les bals masqués et parés-masqués. Étant en période de liesse, de fête, et montrer qu'il est possible de s'arrêter pour pourvoir prendre de la distanciation, réfléchir sur ce sujet festif, pouvant être un objet d'études scientifiques, et patrimoniales. Le cadre de ce colloque est bien simple, allier la théorie, la pratique, l'immersion au plaisir. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17096 | Partager
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| Ouverture du colloque Littérature, patrimoine culturel et mémoire d'Amazonie Auteur(s) : Primerose, Antoine Alexandre, Rodolphe Amiri, Linda San Juan, Guy Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane MINEA : Migrations, Interculturalité et Education en Amazonie Université Fédérale de l'Amapa Université Fédérale de Para Extrait de : "Littérature, patrimoine culturel et mémoire d'Amazonie" : colloque, les 14 et 15 novembre 2019. Université de Guyane Description : Antoine Primerose, Président de l'Université de Guyane, Guy San Juan, Directeur de la DAC et Rodolphe Alexandre, Président de la CTG ouvrent le colloque intitulé "Littérature, patrimoine culturel et mémoire d'Amazonie" en soulignant son intérêt pour la Guyane et la région amazonienne. Linda Amiri, responsable du laboratoire MINEA, propose une rapide présentation de ce laboratoire à l'origine du colloque. Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V20001 | Partager
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| Paroles de chefs coutumiers Auteur(s) : Anakesa Kululuka, Apollinaire Année de publication :
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| Pots de sons, sons de peaux : enjeux d'un imaginaire créatif musical dans les traditions antillo-guyanaises Auteur(s) : Anakesa Kululuka, Apollinaire Année de publication :
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| Race, politique, homosexualités et néocolonialismes en Guyane française Auteur(s) : Manoel, Moïse Manoel, Moïse Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles Université des Antilles Extrait de : Ma thèse en 180 secondes, le 22 février 2020. Université des Antilles Description : En Guyane, il n'y a pas de bars gay-friendly dans les quartiers festifs, alors que grâce à l'enfant du pays Mme Taubira, il y a aujourd'hui le mariage pour tous. Si l'on traverse le Maroni, on reste toujours en Amazonie, mais on se retrouve dans un pays indépendant le Suriname où une Caripride se tiendra en Octobre prochain. L'on remarque que le Suriname et la Guyane française sont deux territoires qui ont connu la colonisation, l'une anglo-néerlandaise et l'autre franco-luso-brésilienne. Cependant, c'est bien en Guyane qu'il y a une moindre visibilité des personnes LGBT. Docteure Chonville, s'est penchée sur les origines coloniales et chrétiennes de l'homophobie outre-mer. Mais cette observation entre la Guyane française et le Suriname met en évidence des causes néocoloniales à la persistance de l'homophobie aujourd'hui en Guyane. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V20114 | Partager
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| Regards sur l'histoire. De Saïgon à Cayenne : l'étrange destin des déportés indochinois Auteur(s) : Debedant, Christèle Année de publication :
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| Représentation du territoire guyanais ancien : une histoire complexe ; approches archéologiques contemporaines : utilisation de la carte ancienne à la DAC de Guyane Auteur(s) : Gassies, Eric Année de publication :
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| Savoirs ethnobiologiques : comment préserver ces patrimoines immatériels en danger ? Auteur(s) : Fleury, Marie Année de publication :
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| Tembe : un discours qui s'adapte Auteur(s) : Price, Sally Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : A.P.F.OM : Association des Peuples des Fleuves Oyapock-Maroni AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane Extrait de : "Les marronnages et leurs productions sociales, culturelles dans les Guyanes et le bassin caribéen du XVIIème au XXème siècle : bilans et perspectives de recherche" : colloque pluridisciplinaire, du 18 au 21 novembre 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : Colloque « Les marronnages et leurs productions sociales, culturelles dans les Guyanes et le bassin caribéen du XVIIème au XXème siècles : bilans et perspectives de recherche ; Dire, montrer, penser le marronnage (traditions orales, littérature, arts, musées?)» Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14306 | Partager
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