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| La loi de 1946 : enthousiasme et désillusion Auteur(s) : Bélénus, René Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles. Service commun de la documentation Description : Points abordés par René Bélénus: le débat au plan local et 1958-1960, les débuts de l'application de la loi.
La loi de départementalisation du 19 mars 1946 annonçait tout un ensemble de mesures politiques, économiques et sociales destinées à impulser le développement des anciennes colonies (Guadeloupe, Guyane, Martinique et Réunion), dans une logique de rattrapage et d'égalité avec la France. Soixante dix après (1946-2016), ces territoires ont connu différents parcours ; qu'en est-il de leur développement et que reste t-il de cette loi après les évolutions administratives (décentralisation acte 1. 2 et 3) et les choix d'évolution institutionnelle ? Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16053 | Partager
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| La nouvelle donne politique de l'île de la Réunion (2010-2014/2015) Auteur(s) : Combeau, Yvan Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "Etat et sociétés en Outre-mer" : colloque, les 27 et 28 novembre 2014. Université des Antilles et de la Guyane Description : Yvan Combeau, Professeur en Histoire à l'Université de la Réunion, propose une analyse sur l'histoire politique immédiate de La Réunion permettant de mettre en perspective l'évolution des positions de la société et du personnel politique. Le propos a pour objet de caractériser les actuels positionnements de La Réunion sur les projets de décentralisation, la définition d'une région-stratège, les dimensions politiques de l'Indianocéanie, etc. Dans un premier temps, la communication s'attache à caractériser le présent d'une société politique réunionnaise, avec les nouveaux rapports de forces politiques (évolutions électorales depuis quatre années, stratégies de coalitions...) et une présentation d'un paysage politique atomisé. Elle souligne la reconstruction et la fragmentation du tableau politique. Sur ce nouvel échiquier en mouvement, le second temps porte sur les oscillations et recompositions des discours politiques quand ils abordent les enjeux institutionnels et sociaux qui traversent la société réunionnaise. A un an des élections régionales de 2015, La Réunion politique s'observe encore comme une "instable photographie". Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16010 | Partager
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| Les gens de couleur à Bourbon et à la Réunion entre la fin de l'Ancien Régime et l'Empire Auteur(s) : Eve, Prosper Eve, Prosper Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Les lois reconnaissant aux maîtres la faculté d'affranchir leurs esclaves leur procurent la possibilité de récompenser les bons services de leur main d'oeuvre forcée, d'encourager celle-ci à accomplir ses devoirs avec zèle et de nourrir en elle une certaine émulation. Jusqu'en 1723, conformément à l'édit de mars 1685 rédigé pour les colonies d'Amérique, mais appliqué aussi dans les Mascareignes faute de décision royale spécifique, le maître affranchit quand il veut, qui il veut, sans attendre une quelconque sanction administrative. Compte tenu des abus possibles engendrés par l'exercice de ce pouvoir illimité et des nuisances éventuelles causées à l'ordre public, l'autorité royale décide en 1723 d'affirmer ses souhaits en la matière. Elle ne retire pas aux maîtres la faculté de formuler la demande d'affranchissement, mais elle attribue à l'autorité administrative le droit de l'accorder ou non. Tel est l'objet des articles 9, 49 et 50 des Lettres patentes concernant les esclaves des îles de France et de Bourbon. À la toute fin de l'administration de la Compagnie des Indes, l'autorité royale fixe de nouvelles règles et bride un peu plus les maîtres, afin d'empêcher les abus de leur part. L'affranchissement doit alors être sanctionné par une permission écrite sans frais par le gouverneur général et de l'intendant des deux îles. Un mois plus tard, l'ordonnance royale du 25 septembre 1766 rappelle la nécessité de l'autorisation préalable de ces administrateurs pour que l'affranchissement soit légal. Elle consacre en outre le droit des tiers de s'opposer à l'affranchissement et même de faire trancher les litiges par les tribunaux. Cette loi vaut à Bourbon jusqu'en 1793. Compte tenu de la législation en vigueur de 1767 à 1810, notre propos vise à déterminer d'abord le poids des Libres de couleur à l'île Bourbon à la fin de l'Ancien Régime, à voir ensuite l'évolution de leur situation propre sous la Révolution et l'Empire, c'est-à-dire leurs espoirs et leurs craintes, et enfin à évoquer les stratégies mises en oeuvre pour réussir leur parcours. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16097 | Partager
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| Les vanilles de la Guyane, entre or vert et or noir, un patrimoine révélé Auteur(s) : Prevot, Ghislaine Année de publication :
Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Présentation botanique de la vanille, qui est une orchidée poussant dans les sous-bois tel une liane grimpante. On en recense 11 espèces sur le territoire Guyanais, ainsi en 1819, un capitaine de navire transporte des plants de vanille guyanais à la réunion. Associé à la découverte de la pollinisation artificielle à cause de l'inexistence de pollinisateur naturel réunionnais, la production de vanille s'accroit. Récemment, il y a une tentative de se réapproprier une ressource guyanaise, de la voloriser, de créer une microfilière et un label. En effet, les vanilles guyanaises ont une biodiversité génétique recherchée par les cultivateurs en raison de l'autofécondation. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12069 | Partager
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