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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:27:13Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-01203474v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-01203474v1</identifier> <datestamp>2017-12-21</datestamp> <setSpec>type:COMM</setSpec> <setSpec>subject:shs</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:GIP-BE</setSpec> <setSpec>collection:AO-GEOGRAPHIE</setSpec> <setSpec>collection:SHS</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>De la richesse de Saint-Pierre à sa ruine : deux facettes d’un tourisme patrimonial martiniquais</title> <creator>Desse, Michel</creator> <creator>Hartog, Thierry</creator> <contributor>Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG)</contributor> <description>International audience</description> <source>DESSE M, HARTOG T (2003). De la richesse de Saint-Pierre à sa ruine : deux facettes d’un tourisme patrimonial martiniquais. IXè journées de géographie tropicale, Patrimoines et développement dans les pays tropicaux. Sous la direction de P Cosaert et F Bart, Espaces tropicaux n°18, Pessac, pp 689-696.</source> <source>IXè journées de géographie tropicale, Patrimoines et développement dans les pays tropicaux. Sous la direction de P Cosaert et F Bart,</source> <coverage>La Rochelle, France</coverage> <contributor>patrice Cosaert et François Bart</contributor> <contributor>patrice Cosaert et François Bart</contributor> <publisher>PUB</publisher> <identifier>hal-01203474</identifier> <identifier>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01203474</identifier> <identifier>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01203474/document</identifier> <identifier>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01203474/file/Saint-Pierre%20Patrimoine.pdf</identifier> <source>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01203474</source> <source>patrice Cosaert et François Bart. IXè journées de géographie tropicale, Patrimoines et développement dans les pays tropicaux. Sous la direction de P Cosaert et F Bart,, Sep 2001, La Rochelle, France. PUB, DESSE M, HARTOG T (2003). De la richesse de Saint-Pierre à sa ruine : deux facettes d’un tourisme patrimonial martiniquais. IXè journées de géographie tropicale, Patrimoines et développement dans les pays tropicaux. Sous la direction de P Cosaert et F Bart, Espaces tropicaux n°18, Pessac, pp 689-696., Espaces Trpicaux (18), pp.689-696, Patrimoines et développement dans les pays tropicaux</source> <language>en</language> <subject lang=fr>tourisme</subject> <subject lang=fr>gestion</subject> <subject lang=fr>patrimoine bâti</subject> <subject lang=fr>patrimoine culturel</subject> <subject lang=fr>Volcanisme</subject> <subject lang=fr>Saint-Pierre.</subject> <subject lang=fr>Martinique</subject> <subject>[SHS.GEO] Humanities and Social Sciences/Geography</subject> <type>info:eu-repo/semantics/conferenceObject</type> <type>Conference papers</type> <description lang=en>The rich capital of the French Antilles, Saint-Pierre, was destroyed by the Pelée mountain eruption wich killed about 30 000 people on 8th May 1902. This town still nowadays looks overwhelmed by that tragedy despite the diversity of its natural and marine, religious and military, commercial and administrative heritage. Space was filled again without taking into account the sites and buildings which had existed previously, and efforts in favour of tourism have been limited. The authors first analyse the diversity of these patrimonies, then examine the views and purposes which have divided the people : preservation, development or ignorance.</description> <description lang=fr>Ancienne et riche capitale, des Antilles françaises, Saint-Pierre fut détruite le 8 mai 1902 par l’éruption de la montagne Pelée, qui fit près de 30 000 morts. Cette commune donne toujours aujourd’hui l’impression d’être écrasée par cette tragédie, malgré la variété et la richesse de son patrimoine, naturel et marin, religieux et militaire, commercial et administratif. La réappropriation spatiale, s’est faite sans mémoire des lieux ; la mise en valeur touristique et restée limitée. Après avoir analysé la diversité de ces héritages, les auteurs s’interrogent ici sur les logiques qui ont opposé les acteurs, entre préservation, exploitation et ignorance.</description> <date>2001-09-13</date> <contributor>François Bart</contributor> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>