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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:27:49Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-01189544v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-01189544v1</identifier> <datestamp>2018-01-11</datestamp> <setSpec>type:OTHER</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:CNRS</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:INRA</setSpec> <setSpec>collection:AGROPARISTECH</setSpec> <setSpec>collection:CIRAD</setSpec> <setSpec>collection:ECOFOG</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Impact de l'anthropisation sur le fonctionnement microbien des sols : cas des sites miniers désactivés en forêt tropicale humide guyanaise</title> <creator>Petitjean, Caroline</creator> <contributor>Ecologie des forêts de Guyane (ECOFOG) ; Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) - Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - AgroParisTech - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <description>  Diffusion du document : INRA Antilles-Guyane, UMR ECOFOG, F97387 Kourou, Guyane (France) Diplôme : Master Recherche</description> <description>il s'agit d'un type de produit dont les métadonnées ne correspondent pas aux métadonnées attendues dans les autres types de produit : DISSERTATION</description> <contributor>Université Paris Est Créteil Val de Marne (Paris 12)</contributor> <contributor>Anne-Marie Domenach</contributor> <contributor>Jean-Christophe Roggy</contributor> <contributor>Stéphane Guittet</contributor> <identifier>hal-01189544</identifier> <identifier>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01189544</identifier> <source>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01189544</source> <source>il s'agit d'un type de produit dont les métadonnées ne correspondent pas aux métadonnées attendue.. 2009, 48 p. (+ annexes)</source> <identifier>PRODINRA : 46710</identifier> <language>fr</language> <subject lang=en>PERTURBATION ANTHROPIQUE</subject> <subject lang=en>DÉNITRIFICATION</subject> <subject lang=en>ACTIVITÉ MICROBIENNE</subject> <subject lang=en>SOIL QUALITY</subject> <subject lang=en>BIO-INDICATORS</subject> <subject lang=en>ANTROPOGENIC DISTURBANCE</subject> <subject lang=en>POTENTIAL MICROBIAL ACTIVITY</subject> <subject lang=en>TROPICAL RAIN FOREST</subject> <subject>[SDV] Life Sciences [q-bio]</subject> <type>info:eu-repo/semantics/other</type> <type>Other publications</type> <description lang=en>Worldwide, there is concern regarding the declining quality of ecosystems, their rehabilitation, and their protection. In particular, the recognition that soil is a finite resource has spurred efforts to manage and restore it. In French Guiana, gold mining is a serious social and ecological problem, including the threats it poses to soil quality. The principal goal of this study was to establish a qualitative baseline of impacts of gold mining on soil microbial activity at five previously mined sites. We measured the potential rates of respiration and denitrification in disturbed soils, and compared theses rates with those of soils from adjacent forests, which served as un-disturbed references. Microbial activity, used as a bio-indicator, demonstrated the importance of soil rehabilitation, and the type of soil rehabilitation. We also found that visual observations of plant regeneration were insufficient to infer the rate of microbial activity. These bio-indicators can indicate soil quality, and help to formulate hypotheses about its developmnent. Bio-indicators can be used to obtain reliable indications about the quality of soil and contribute to decision-making in the management and restoration of this valuable resource.</description> <description lang=fr>Notre étude s'inscrit dans un contexte mondial de préoccupations environnementales, centrées notamment sur l'évaluation de la qualité des écosystèmes, la mise en place de leur réhabilitation et de leur sauvegarde. En particulier, la prise de conscience que le sol ne constitue pas une ressource inépuisable s'est accompagnée de la nécessité de gérer, voire de restaurer cette ressource. L'étude s'intègre également dans un contexte guyanais où l'exploitation aurifère constitue un problème écologique et sociétal majeur. Notre travail a pour but principal de dresser un bilan qualitatif des impacts de l'exploitation aurifère sur le fonctionnement microbien des sols de cinq sites miniers. Pour cela, nous avons effectué les mesures des activités potentielles de deux fonctions microbiennes, la respiration et la dénitrification, sur les sols des sites perturbés. Nous avons comparé ces valeurs d'activités microbiennes avec celles obtenues pour les sols de forêts naturelles (adjacentes à ces sites) que nous avons considérées comme la référence à atteindre (témoin). Les fonctions microbiennes, utilisées comme bio-indicateurs, ont mis en évidence l'importance de la réhabilitation et du type de réhabilitation sur la reprise du fonctionnement du sol. Nous avons constaté que l'observation de visu de la végétation ne suffit pas à évaluer de façon certaine la reprise de ce fonctionnement. Ces bio-indicateurs sont aptes à traduire l'état d'un sol perturbé et émettre des hypothèses quant à son évolution. Ainsi, les bio-indicateurs peuvent être utilisés afin d'obtenir des indications solides sur la qualité des sols et aider à la prise de décision en matière de gestion et de restauration de cette ressource.</description> <date>2009</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>