Résultats pour la recherche : Natal
4 documents satisfont la requête.

Nombre de mots: Natal: 4

Génération Hip-Hop/Dancehall et héritage africain

Auteur(s) : Ramassamy, Olivier Désirée, Benjamin Soumahoro, Maboula Gadet, Steve
Édition
: Commission Culture du pôle Guadeloupe.
Extrait de : "Rencontre des étudiants dans le cadre du Mois de l'Afrique", 13 Février 2014. Université des Antilles et de la Guyane
Description : Le thème de l'"Héritage", choisi pour le Mois De l'Afrique 2014 est l'occasion d'engager avec nos jeunes une réflexion sur la place qu'occupe l'Afrique dans leur quotidien, dans leurs imaginaires et dans leurs aspirations. Le Hip-hop, l'image de Tupac et le témoignage des Rastas de l'EABIC Guadeloupe sont les supports à partir desquels ont échangé Steve Gadet et Maboula Soumahoro avec le public.
Siècle(s) traité(s) : 20 21 18 19
Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14209
Partager

| Plus
Restauration de la traite des Noirs à Natal

Auteur(s) : Schoelcher, Victor (1804-1893)
Édition
: Paris : Imprimerie de E. Brière.
Siècle(s) traité(s) : 19
Provenance : Ville de Pointe-à-Pitre. Réseau des bibliothèques
Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/PAP11184
Consulter le document : T?l?charger le document
Partager

| Plus
La mémoire de l'esclavage toujours ? Bilan d'une décennie de travaux

Auteur(s) : Cottias, Myriam Bourquin, Anastasie Mathurin-Brouard, Fabienne
Édition
: Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation ; APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane ; Conseil Régional de la Guyane.
Extrait de : "167e anniversaire de l'abolition de l'esclavage en Guyane" : Journées de la liberté, le 05 juin 2015. Université de la Guyane
Description : Conférence de la Mme Myriam COTTIAS (Présidente du comité national pour la mémoire et l'Histoire de l'Esclavage) intitulée "La mémoire de l'esclavage toujours ? Bilan d'une décennie de travaux" dans le cadre du 167e anniversaire de l'abolition de l'esclavage en Guyane (Les journées de la Liberté).

Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15264
Partager

| Plus
Du code noir au chlordécone. L'Héritage colonial ou du monstre juridique au monstre chimique

Auteur(s) : Niort, Jean-François
Édition
: Université des Antilles et de la Guyane.
Extrait de : "Du code noir au chlordécone. L'Héritage colonial ou du monstre juridique au monstre chimique" : Conférence - débat, le 5 juin 2013. Université des Antilles et de la Guyane
Description : "Le propos sera de montrer - textes historiques à l'appui (notamment un mémoire du roi aux administrateurs de la Martinique de janvier 1765) - que du Code Noir au Chlordécone, prévaut aux Antilles françaises la même logique "coloniale", malgré l'apparente "décolonisation". Cette attitude, fondée sur la subordination économique de la colonie à sa métropole, en instaurant un modèle agricole fondé sur l'exportation commerciale et non la satisfaction des besoins locaux et le développement de l'économie locale, a dans les deux cas, conduit à deux "monstres", l'un juridique, l'autre chimique, par le même processus de dérogation au droit commun national. En effet, l'esclavage a été implanté et légalisé dans les colonies en contravention manifeste - et pleinement assumée par le pouvoir central - avec le droit commun du royaume. Il a été de plus rétabli en 1802 en toute illégalité, après le retour des territoires antillais dans le statut colonial - et donc dérogatoire - en 1799. Or, même si l'esclavage comme institution légale et mode de production a été aboli (1848), et même si le statut administratif et politique a été transformé en département (1946), le modèle agricole antillais n'a pas été "décolonisé", et a conduit, pour des raisons commerciales, à partir des années 1950, à l'utilisation massive de pesticides générateurs d'une pollution massive et durables des sols, des animaux et des populations, avec le soutien actif de l'Etat, qui a autorisé l'épandage aérien même pour des produits interdits sur le sol hexagonal comme l'était la Chlordécone après 1990, et qui continue à le faire en contravention du droit européen et d'une décision du Tribunal administratif de Basse-Terre. C'est donc toujours cette même attitude "coloniale" de dérogation juridique négative au droit commun - voire au droit tout court- qui prévaut. Finalement, après l'esclavage et la traite, c'est au autre "crime contre l'humanité, généré par la même logique coloniale, et tout aussi ravageur et meurtrier, qui a été perpétré dans les Antilles françaises, et qui continue à l'être sous nos yeux."
Siècle(s) traité(s) : 17 18 19 20 21
Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13180
Partager

| Plus