![]() | QUESTIONS Auteur(s) : Lucas, Pierre-Damien Trabelsi, Meriam Le Grusse, Philippe Achard, Raphaël Debert, Peninna Lucas, Pierre-Damien Trabelsi, Meriam Le Grusse, Philippe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides Extrait de : "Protection des cultures et santé environnementale : héritages et conceptions nouvelles" : Congrès, le 26 mai 2014. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : Débat Description : Débat Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14248 | Partager |
![]() | Utilisation de zones refuges dans le cadre d'une lutte biologique de conservation en Martinique Auteur(s) : Lucas, Pierre-Damien Lucas, Pierre-Damien Lucas, Pierre-Damien Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides GFP : Groupe Français des Pesticides Extrait de : "Protection des cultures et santé environnementale : héritages et conceptions nouvelles" : Congrès, le 26 mai 2014. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : Une alternative aux produits phytosanitaires est le recours à la lutte biologique. Jusqu'alors peu développée en Martinique pour le maraîchage, il existe un réel potentiel pour cette technique grâce à la présence sur lîle de nombreux ennemis naturels : chrysopes, coccinelles, syrphes, punaises prédatrices, hyménoptères parasitoïdes, araignées ? La lutte biologique de conservation peut permettre de favoriser ces auxiliaires dans et autour des parcelles maraîchères et entraîner une diminution de l'utilisation des produits phytosanitaires. Description : Une alternative aux produits phytosanitaires est le recours à la lutte biologique. Jusqu'alors peu développée en Martinique pour le maraîchage, il existe un réel potentiel pour cette technique grâce à la présence sur l'île de nombreux ennemis naturels: chrysopes, coccinelles, syrphes, punaises prédatrices, hyménoptères parasitoïdes, araignées? La lutte biologique de conservation peut permettre de favoriser ces auxiliaires dans et autour des parcelles maraîchères et entraîner une diminution de l'utilisation des produits phytosanitaires. L'utilisation de plantes relais va permettre d'apporter aux ennemis naturels des ressources alimentaires supplémentaires (proies secondaires, nectar, pollen) ainsi qu'un abri. La disposition de ces plantes en bandes ou en massif permet de former des zones refuges et ainsi d'augmenter les populations de prédateurs et de parasitoïdes sur l'exploitation agricole et de les y maintenir sur le long-terme. Suite à des prospections sur de nombreuses plantes locales, cultivées ou sauvages, le sorgho et le maïs sont apparus comme des plantes relais intéressantes dans le contexte martiniquais : elles abritent des pucerons et des chenilles et produisent du pollen en grande quantité. De plus, elles sont relativement simples à obtenir, à cultiver et à entretenir. Des essais chez trois agriculteurs de Martinique ont permis d'évaluer l'attractivité, pour les ennemis naturels, de bandes de sorgho et de maïs de 1m de large. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14247 | Partager |