Histoires, mémoire et invisibilité : écrire l'histoire au féminin dans Mes quatre femmes de Gisèle Pineau Auteur(s) : Clerfeuille, Laurence Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIEF: Conseil International d'Études Francophones Extrait de : 31e congrès mondial du Conseil international d'études francophones, du 26 juin au 2 juillet 2017. Université des Antilles Description : Laurence Clerfeuille, professeure au St Micheal's College (Vermont, Etats-Unis), présente l'écrivaine Gisèle Pineau et son roman Mes quatre femmes. Selon L. Clerfeuille, l'auteure y aborde la question de l'histoire et des histoires individuelles dans la tourmente de la grande histoire, montrant ainsi comment il est possible de parler d'histoires guadeloupéennes au présent par le biais de la fiction et en incluant des femmes. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17198 | Partager |
"Les éléments naturels déchaînés" : Gisèle Pineau et la poétique du désastre Auteur(s) : Loth, Laura Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIEF: Conseil International d'Études Francophones Extrait de : 31e congrès mondial du Conseil international d'études francophones, du 26 juin au 2 juillet 2017. Université des Antilles Description : Laura Loth étudie deux romans de Gisèle Pineau sous l'angle de la théorie du domaine du désastre qui sert de métaphore pour les maladies mentales, le handicap et le traumatisme. Il existe un parallèle entre les catastrophes naturelles et les traumatismes, les maladies mentales et le handicap dans les romans de Gisèle Pineau, infirmière en hôpital psychiatrique. L'auteur parle également de l'oppression des femmes martiniquaises, la vulnérabilité des femmes antillaises aux risques naturels. Gisèle Pineau parle de la violence cyclique de l'histoire antillaise et la violence familiale dans ses romans. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17194 | Partager |
Rencontre avec la romancière Gisèle Pineau Auteur(s) : Pineau, Gisèle Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : DPLSH : Département Pluridisciplinaire de Lettres, Langues et Sciences humaines Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : Rencontre avec les étudiants de Lettres Modernes, les 19 octobre, 16 novembre et 7 décembre 2015. Université des Antilles Description : Le 07 décembre 2015, c'est aujourd'hui que les étudiants de lettres modernes du DPLSH rencontrent l'auteure Gisèle Pineau. Les étudiants dressent leur regard sur l'oeuvre « Chair Piment », oeuvre multiple par sa diversité thématique, énonciative et structurelle dans la mesure ou le narrateur prête sa voix aux différents personnages du roman, pour enfin interroger l'auteure. Elle explique, commente ? Une rencontre littéraire marquante. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16014 | Partager |
La Grande Dérive des esprits de Gisèle Pineau : un réalisme merveilleux guadeloupéen ? Auteur(s) : Miram-Marthe-Rose, Sandrine Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Réel merveilleux, réalisme merveilleux, réalisme magique et baroque (III)" : journée d'étude, le 7 mai 2015. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le roman de Gisèle Pineau La Grande Drive des esprits (1993) a été abordé sous divers angles. Celui de l'écriture féminine est le plus souvent relevé, mais on trouve également une pluralité d'aspects qui en découle. Ainsi, nous pourrons faire référence à des thèmes récurrents aussi chez des écrivaines guadeloupéennes connues, comme Simone Schwartz-Bart et Maryse Condé. D'ailleurs l'influence de ces deux parraines semble se profiler aussi dans le style de Gisèle Pineau et dans la façon de traiter certains de ces thèmes, notamment l'irruption de faits insolites parmi des faits qui semblent plus vraisemblables, phénomènes souvent associés dans la critique à la notion de réalisme merveilleux. Celle-ci a été défendue par Jacques Stephen Alexis dans un manifeste très engagé idéologiquement pour une esthétique « Du Réalisme merveilleux des Haïtiens ». Nous préférons retenir une approche plus spécifiquement littéraire, qui définit le réalisme merveilleux en le distinguant du réalisme magique en tant modes narratifs de la fiction (Scheel, 2005). Une telle approche aborde ces deux notions en se focalisant davantage sur la position du narrateur lors de la narration des événements insolites en particulier. La Grande Drive des esprits est une oeuvre de fiction intéressante en tant qu'illustration de cet aspect discursif, qui est loin d'être simple. Ainsi, une oeuvre à dominante réaliste merveilleuse n'exclut pas la présence de passages réalistes magiques. Mais la mise en relief de la perception de l'insolite dans le réel, que pratique parfois la narratrice, renforce-t-elle le réalisme merveilleux, ou le remet-elle en question ? A partir de là, nous tâcherons de répondre à la question si l'on peut parler d'un réalisme merveilleux spécifiquement guadeloupéen. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15204 | Partager |