La filière mangue en Haïti : comment des milliers de microproducteurs alimentent une filière d'exportation Auteur(s) : Lavigne, Christian Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIRAD : Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Extrait de : "Projet DEVAG" : conférence, le 5 décembre 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : Christian Lavigne présente le travail de master d'un étudiant haïtien sur la production et la productivité du manguier en Haïti. Les circuits de commercialisation de la mangue sont les suivants par ordre d'importance : la consommation à destination des consommateurs urbains, la communication à destination de la république dominicaine, les consommateurs ruraux et enfin, la commercialisation à destination des Etats-Unis et du Canada. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14105 | Partager |
La bioécologie de la mouche des fruits en Haïti : enseignements et intérêt pour la filière mangue Auteur(s) : Ryckewaert, Philippe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIRAD : Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Extrait de : "Projet DEVAG" : conférence, le 5 décembre 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : La mangue a représenté autrefois la principale culture d'exportation en Haïti. L'exportation essentiellement tournée vers les Etats-Unis a été interdite après la découverte de larves de mouches des fruits dans les mangues. Il sera question de déterminer quels sont les autres bioagresseurs qui s'attaquent à la mangue et quelles sont les espèces de mouches présentes dans ces vergers. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14092 | Partager |
Evaluation of banana and plantain (Musa spp.) accessions tolerant to black sigatoka disease in Dominica, Guyana, St-Lucia and St-Vincent and the Grenadines Auteur(s) : Linton, Gregory Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CARDI : Caribbean Agricultural Rechearch and Development Institute Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : 52e congrès annuel de la Société caribéenne des plantes alimentaires / 52nd annual meeting of the Caribbean food crops society (CFCS), du 10 au 16 juillet 2016. INRA, CFCS Description : Banana and plantain (Musa spp) are important foreign exchange earners in Guyana and the Windward Islands of the Caribbean. Black Sigatoka Disease (BSD) also referred to as black leaf streak disease is one of the most destructive diseases of banana and plantain and is present within the region. In Guyana within two years following its introduction in 2008, the industry was totally decimated, recording a 100% decline, turning the country to a net banana importer. Also, from 2009 ? 2012 the disease spread in the Windward Islands causing as much as 100% decrease in the export of banana. The disease is caused by the ascomycete fungus, Mycosphaerella fijiensis (anamorph Pseudocercospora fijiensis) and is aggressive, challenging to control and results in enormous crop damage if left uncontrolled. In an effort to develop an integrated management approach to the disease the Caribbean Agricultural Research and Development Institute (CARDI) with financial assistance from the Caribbean Development Bank (CDB) is evaluating five FHIA banana and plantain accessions and eight IITA plantain accessions for tolerance to BSD. The evaluation is presently conducted in four Caribbean countries, Dominica, Guyana, St Lucia and St Vincent and the Grenadines. In each country, four distinct agro- ecological zones were selected for the trial evaluation blocks and using a randomized block design, four blocks were established in each country. Five FHIA accessions: FHIA-01, FHIA-03, FHIA-18, FHIA-21 and FHIA-23 are being evaluated in Dominica, St Lucia and St Vincent and the Grenadines whereas, plantain accessions: PITA-17, PITA-21, PITA-22, PITA-23, PITA-24 and PITA-26 are to be evaluated in Guyana for tolerance to the disease. Cavendish are used as regional controls and as borders rows to increase disease pressure. The disease parameters evaluated are youngest leaf spotted (YLS), disease development time (DDT), leaf emission rate (LER), disease severity at 6 months, bunch emergence and harvest, and index of standing leaves. Agronomic data; days from planting to flowering, bunch weight, number of hands in bunch, average weight of hands and average number of fingers per hand and bunch, as well as organoleptic characteristics of both cooked and ripe fruits are also evaluated. The early data collection, of the FHIA only accessions, show trends in the disease tolerance and agronomic performance as well as their adaptability in the different agro-ecological zone. The trends indicate better disease tolerance of FHIA varieties with higher leaf counts before, at bunching and at harvest. The organoleptic test shows a preference to FHIA 03 and FHIA 21. La banane et le plantain (espèces de Musa) sont les acquéreurs de devises étrangères importants en Guyane et en Îles du Vent des Caraïbe. La maladie noire de Sigatoka (schéma) également désignée sous le nom de la maladie noire de filet de feuille est l'une des maladies les plus destructives de la banane et du plantain et est présente dans la région. En Guyane dans un délai de deux ans après son introduction en 2008, l'industrie a été totalement décimée, enregistrant une baisse de 100%, tournant le pays à un importateur net de banane. En outre, à partir de 2009-2012 la propagation de maladie en Îles du Vent causant pas moins de la diminution de 100% de l'exportation de la banane. La maladie est provoquée par le champignon d'ascomycète, fijiensis de Mycosphaerella (fijiensis anamorph de Pseudocercospora) et est agressive, contestant pour commander et les résultats dans l'énorme culture endommagent si laissé incontrôlé. Dans un effort de développer une approche intégrée de gestion à la maladie l'institut agricole des Caraïbes de recherche et développement (CARDI) avec l'aide financière de la banque de développement des Caraïbes (BDC) évalue des adhésions de banane et de plantain de cinq FHIA et huit adhésions de plantain d'IITA pour la tolérance au schéma. L'évaluation est actuellement effectuée quatre pays des Caraïbes, Dominique, Guyane, St Lucia et Saint-Vincent-et-les Grenadines. Dans chaque pays, quatre agro zones écologiques distinctes ont été sélectionnées pour les blocs d'essai d'évaluation et employant une conception de bloc randomisé, quatre blocs ont été établis dans chaque pays. Cinq adhésions de FHIA : FHIA-01, FHIA-03, FHIA-18, FHIA-21 et FHIA-23 sont évalués en Dominique, au St Lucia et au Saint-Vincent-et-les Grenadines tandis que, des adhésions de plantain : PITA-17, PITA-21, PITA-22, PITA-23, PITA-24 et PITA-26 doivent être évalués en Guyane pour la tolérance à la maladie. Cavendish sont employés en tant que contrôles régionaux et comme rangées de frontières pour augmenter la pression de la maladie. Les paramètres de la maladie évalués sont la plus jeune feuille repérée (YLS), le temps d'élaboration de la maladie (DDT), le taux d'émission de feuille (LER), la sévérité de la maladie à 6 mois, émergences et récoltes de groupe, et index des feuilles debout. Données agronomiques ; des jours de la plantation à la floraison, du poids de groupe, nombre de mains dans le poids de groupe et moyen des mains et du nombre moyen de doigts par main et groupe, aussi bien que les caractéristiques organoleptiques des fruits cuits et mûrs sont également évalués. La collecte de données tôt, des adhésions de FHIA seulement, exposition tend dans la tolérance de maladie et la représentation agronomique aussi bien que leur adaptabilité dans la zone agro-écologique différente. Les tendances indiquent qu'une meilleure tolérance de maladie des variétés de FHIA avec une plus haute feuille compte avant, à se rassembler et à la récolte. L'essai organoleptique montre une préférence à FHIA 03 et à FHIA 21. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16266 | Partager |
De l'usage de la liberté à l'oppression commerciale : le cas du commerce du café dans les colonies françaises Auteur(s) : Hardy, Marie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "De l'usage de la liberté à l'oppression" : 1ère journée d'étude pluridisciplinaire, le 31 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Mme Marie Hardy présente un sujet d'étude sur le commerce du café dans les colonies françaises entre les 18e et 19e siècles. Son implantation dans les colonies françaises, sa culture et les difficultés rencontrées pour son exportation, ainsi que les causes de son déclin. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11009 | Partager |
Regards sur l'histoire. Le poids du bagne dans l'économie guyanaise Auteur(s) : Mam Lam Fouck, Serge Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2010-2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : De par la durée d'existence assez longue du bagne, il a influé fortement la vie sociale guyanaise. L'origine du bagne est lié à la volonté de peuplement de la Guyane jugé insuffisant pour assurer le développement de la communauté. Ainsi après la suppression de l'esclavage, la main d'oeuvre des bagnards est très largement utilisé. Les principaux moyens utilisés sont la relégation, le doublage et la transportation. Durant cette période, les colonies vivent de leur production, quatre exportations sont majoritaires en Guyane: l'or, le rhum, l'essence de bois de rose et la gomme de Balata. Les dépenses de l'administration pénitentiaire sont ainsi primordiales dans l'équilibre de la balance commerciale de par la quantité et sa sûreté. Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12015 | Partager |
La présence hollandaise en Guyane Française entre 1598-1677 Auteur(s) : Van den Bel, Martijn Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe-XIXe siècle" : colloque international, du 16 au 19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'expansion coloniale néerlandaise fait suite à la recherche de ressources indisponibles ou rares comme le sucre, le sel, le tabac... Au début, c'est plutôt une période de reconnaissance avec des échanges commerciaux entre des navires hollandais et les indiens des plateaux de Guyane. Peu à peu, ces contacts fréquents créent des comptoirs commerciaux permanents exportant de nombreuses ressources du Nouveau Monde. Puis ces comptoirs deviennent des villages fortifiés qui commencent une économie de plantation. Inévitablement, ces tentatives d'implantation attire la convoitises des autres puissances coloniales qui se vouent alors une véritable lutte d'influence territoriale. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11046 | Partager |
Du code noir au chlordécone. L'Héritage colonial ou du monstre juridique au monstre chimique Auteur(s) : Niort, Jean-François Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane Description : "Le propos sera de montrer - textes historiques à l'appui (notamment un mémoire du roi aux administrateurs de la Martinique de janvier 1765) - que du Code Noir au Chlordécone, prévaut aux Antilles françaises la même logique "coloniale", malgré l'apparente "décolonisation". Cette attitude, fondée sur la subordination économique de la colonie à sa métropole, en instaurant un modèle agricole fondé sur l'exportation commerciale et non la satisfaction des besoins locaux et le développement de l'économie locale, a dans les deux cas, conduit à deux "monstres", l'un juridique, l'autre chimique, par le même processus de dérogation au droit commun national. En effet, l'esclavage a été implanté et légalisé dans les colonies en contravention manifeste - et pleinement assumée par le pouvoir central - avec le droit commun du royaume. Il a été de plus rétabli en 1802 en toute illégalité, après le retour des territoires antillais dans le statut colonial - et donc dérogatoire - en 1799. Or, même si l'esclavage comme institution légale et mode de production a été aboli (1848), et même si le statut administratif et politique a été transformé en département (1946), le modèle agricole antillais n'a pas été "décolonisé", et a conduit, pour des raisons commerciales, à partir des années 1950, à l'utilisation massive de pesticides générateurs d'une pollution massive et durables des sols, des animaux et des populations, avec le soutien actif de l'Etat, qui a autorisé l'épandage aérien même pour des produits interdits sur le sol hexagonal comme l'était la Chlordécone après 1990, et qui continue à le faire en contravention du droit européen et d'une décision du Tribunal administratif de Basse-Terre. C'est donc toujours cette même attitude "coloniale" de dérogation juridique négative au droit commun - voire au droit tout court- qui prévaut. Finalement, après l'esclavage et la traite, c'est au autre "crime contre l'humanité, généré par la même logique coloniale, et tout aussi ravageur et meurtrier, qui a été perpétré dans les Antilles françaises, et qui continue à l'être sous nos yeux." Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13180 | Partager |
Le café martiniquais un objet de patrimonialisation Auteur(s) : Hardy, Marie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le café était une production importante en Martinique puisqu'il s'agissait de la seconde exportation après le sucre. Ainsi, sur l'île, un peu moins d'un millier d'habitations caféières sont recensées au début du XVIIIe siècle. Puis durant le siècle suivant, la production décline lentement, jusqu'à devenir marginale. Actuellement, il ne reste pas de vestiges d'habitations caféières et seul quelques vestiges d'ustensiles comme des pulpeurs sont présentés au musé du Café. Pourtant la café martiniquais a une réputation internationale et était encore cultivé de façon vivrière, il y a quelques décennies. A contrario, en Guadeloupe, une plantation caféière a été classée Monument historique en 1987. Il y a donc un réel enjeux de reconnaissance du café dans l'histoire de la Martinique afin qu'il est sa place dans le patrimoine martiniquais à l'instar du sucre. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12101 | Partager |