Blanche de Ransi : pérégrinations et relations en Afrique au XVIIe siècle Auteur(s) : Sol, Antoinette Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CIEF: Conseil International d'Études Francophones Extrait de : 31e congrès mondial du Conseil international d'études francophones, du 26 juin au 2 juillet 2017. Université des Antilles Description : Antoinette Sol, professeure à l'Université du Texas à Arlington, examine la vision humaniste et anti-patriarcale du Ghana dans un texte hybride, situé à l'intersection de plusieurs genres : roman d'aventures, récit de voyage et roman d'initiation. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17192 | Partager |
Les français au Mexique (XIXe-début XXe): entre identité mythologisante et réalité migratoire Auteur(s) : Garotin, Solène Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ECMEA : Etudes Croisées des Mondes Européens et Américains CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Terres promises, représentations et imaginaires" : colloque, du 25 au 27 novembre 2015. Université des Antilles Description : Au milieu du XIXe siècle, les français du Mexique comptent environ 6000 âmes principalement installées en zones urbaines ; par leur nombre ils constituent le groupe européen le plus présent. En 1860, la communauté française cesse de se développer, à l'exception du Sonora situé au nord-est du Mexique, où beaucoup de français se dirigent après la découverte de l'or en Californie en 1848. La France n'a jamais été une nation de forte émigration et la présence française au Mexique représente un cas particulier du fait de la frontière du pays avec les États-Unis et sa proximité avec les Antilles françaises qui forment une zone de circulation des migrants français. Nous verrons que l'émigration française au Mexique se mesure en fonction de l'influence qu'elle a exercée dans la société d'accueil et s'appréhende à travers le mythe d'une terre promise mais pas donnée. En dépit des rapports de soumission et de force qui la déterminent, elle laisse toujours place à l'échange et la découverte d'une terre promise qui doit se mériter ou bien être abandonnée. Au-delà du profil sociologique des migrants qui, à leur façon, opèrent des changements dans la construction identitaire, économique et culturelle du pays, nous présenterons Arsène Montcouquiol, exemple d'une intégration réussie non sans difficultés, dans une colonie agricole de l'État de Veracruz. Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16220 | Partager |
Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 2) Auteur(s) : Lacaisse, Patrick Doorson, Ken Ateni, Joseph Miranda, Andelie Othily, Arthur Abonnenc, Mathieu Jungurman, Remy Kapiten Ngwete, Abelli Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saamaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI). Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12022 | Partager |
Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 1) Auteur(s) : Tiouka, Alexis Soly, Elsol Jungurman, Remy Abonnenc, Mathieu Othily, Arthur Ateni, Joseph Miranda, Andelie Ruben Van der Bock, Steven Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saramaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI). Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12021 | Partager |