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Rappel de recherche : Par base : Bibliothèque numérique Manioc | Thématique : Sociologie, anthropologie | Date : 2011-03-03
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Titre : Histoire et mémoires des quartiers de Saint-Laurent du MaroniIntervenant principal : Léobal, Clémence (1987-....)Edition : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (Schoelcher, Martinique)Lieu : CayenneDate : 03 mars 2011Extrait de : « Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques » : colloque international, du 2 au 4 mars 2011Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Après un rapide historique de l'arrivée massive des Bushinengués surinamais à Saint-Laurent du Maroni (raisons économiques et politiques : guerre civile). Clémence Léobal nous explique comment cette population s?organise à Saint-Laurent du Maroni (logement, création de quartiers, emplois ?). Aujourd?hui comment valoriser ce patrimoine marron ? Différents outils sont mis à disposition : des animations sur le patrimoine (scolaire, touristique, visites guidées de quartiers marrons ?), la collecte de témoignages (formation de bénévoles pour réaliser les collectes : sauvegarde de la mémoire, valoriser les langues locales, et les différents patrimoines) et la création d?un centre de la culture et du patrimoine (recherche sur l?histoire du Maroni).Langue : FrançaisMots-clés : Diasporas, migrations et multiculturalisme - Ethnicité - Noir-Marron - Noirs marrons - Patrimoine - Patrimoine culturel - Valorisation - Sociologie, anthropologie - Saint-Laurent-du-Maroni - Suriname - 19e siècle - 20e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : L'expérience esclavagiste des habitations sucrières de la Caraïbe, un modèle occulté des cités ouvrièresIntervenant principal : Duchene, FrançoisEdition : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (Schoelcher, Martinique)Lieu : CayenneDate : 03 mars 2011Extrait de : « Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques » : colloque international, du 2 au 4 mars 2011Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Le modèle urbain des cités ouvrières est une gestion du peuplement qui permet le contrôle social des ouvriers par l'ordonnancement spatial militaire, la centralisation autour de la famille, les liens entre confort et hiérarchie... Cette architecture autarcique et instrumentalisée donne la capacité aux édifices d'influer les pratiques quotidiennes. Les habitations esclavagistes constituent un modèle de société autonome avec une construction assez identique dans la caraïbe. Les habitations sucrières et les cités ouvrières ont ainsi une affiliation de domination sociale. Cependant pourquoi une telle occultation de ce lien ? Actuellement, les habitations sont reconverties en musée ou en hôtel et restaurant et les cités ouvrières se gentrifient. Le processus de patrimonialisation se fait alors autour de la spatialité et non des occupants, des lieux et non des hommes.Langue : FrançaisMots-clés : Cité ouvrière - Domination spatiale - Habitation - Organisation sociale - Patrimoine culturel - Sociologie, anthropologie - Caraïbe - France - Martinique - 17e siècle - 18e siècle - 19e siècle - 20e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : La légende noire guyanaise : l'histoire comme enjeux de mémoireIntervenant principal : Coquet, MartineEdition : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (Schoelcher, Martinique)Lieu : CayenneDate : 03 mars 2011Extrait de : « Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques » : colloque international, du 2 au 4 mars 2011Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Rapide contextualisation de la Guyane au début fantasmatique (eldorado), puis avec l'arrivée du bagne, ce territoire devient alors une terre de mort. Outre une répercussion sur la vie sociale des individus peuplant la Guyane, la colonisation pénale a amplement participé au phénomène de stratification sociale à Saint Laurent du Maroni. Le bagne est actuellement un enjeu de mémoire, des lieux sans motif de fierté qui sont tout de même valorisés par les institutions et associations. Il y a une volonté de dépasser les conflits en parlant de ce qu'est la Guyane et non de qu'elle a fait.Langue : FrançaisMots-clés : Colonisation - Mémoire - Patrimoine culturel - Sociologie, anthropologie - Guyane Française - 19e siècle - 20e siècle - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : La pensée, la matérialité et le gesteIntervenant principal : Arrouvel, RébeccaEdition : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (Schoelcher, Martinique)Lieu : CayenneDate : 03 mars 2011Extrait de : « Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques » : colloque international, du 2 au 4 mars 2011Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Mme Arrouvel propose une analyse d'un instrument musical, le bélè et de la dimension raciale qui l'entoure. Elle compare alors différents musiciens de bélè et propose d'en exposer les caractéristiques, les influences... mais aussi son environnement historique en Martinique. Après avoir proposé de courts extraits musicaux, elle décompose chaque morceau en mesure où elle identifie des particularismes géographiques. Puis elle aborde tout une thématique liant la psychologie à l'interprétation ethnomusicologique.Langue : FrançaisMots-clés : Bélè - Ethnologie - Ethnomusicologie - Musique - Sociologie, anthropologie - Martinique - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Le carnaval cayennais ou l'entretien symbolique de frontières "ethniques"Intervenant principal : Hidair-Krivsky, Isabelle (19..-....)Edition : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (Schoelcher, Martinique)Lieu : CayenneDate : 03 mars 2011Extrait de : « Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques » : colloque international, du 2 au 4 mars 2011Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Historiquement le Carnaval cayennais avant les années 60 est créole, puis les vagues migratoires contribuent à créer un carnaval par groupes ethniques. Le carnaval est ainsi le reflet de la division ethnique de la Guyane, avec les créoles guyanais, les autochtones et les étrangers (dont antillais français et métropolitain). En effet, le discours sur la société guyanaise est une mosaïque de peuples, une société tolérante et métissée, fier de sa diversité et de sa multiculturalité. D'un simple défilé, il est devenu une grande parade où la compétition entre les groupes ethniques surtout le dimanche gras est forte. Le carnaval est alors une preuve d'intégration en définissant l'attitude a adopter pour se construire une identité et intégrer les frontières ethniques.Langue : FrançaisMots-clés : Carnaval - Identité - Patrimoine culturel - Sociologie, anthropologie - Cayenne - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Quelle place pour la patrimonialisation des graffitis martiniquais ?Intervenant principal : Bertoncini, PetruEdition : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (Schoelcher, Martinique)Lieu : CayenneDate : 03 mars 2011Extrait de : « Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques » : colloque international, du 2 au 4 mars 2011Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Tout d'abord, il est présenté les similitudes de la Corse et de la Martinique, deux iles, des territoires colonisés, des revendications identitaires... mais aussi les différences comme la corsitude et la négritude. Ensuite, il est étudié puis analysé des graffitis de ces espaces qui a contrario de la France, ne relèvent pas seulement de la sphère de l'art. Ainsi, en Corse, le graffiti est un emblème identitaire qui marque l'espace. En Martinique, le corpus pas encore assez fourni n'a pas permis de synthétiser mais laisse entrevoir des graffitis en plusieurs langues, politisés pour certains...Langue : FrançaisMots-clés : Graffiti - Identité - Patrimoine - Patrimoine culturel - Sociologie, anthropologie - Corse - Martinique - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Savoirs ethnobiologiques : comment préserver ces patrimoines immatériels en danger ?Intervenant principal : Fleury, MarieEdition : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines (Schoelcher, Martinique)Lieu : CayenneDate : 03 mars 2011Extrait de : « Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques » : colloque international, du 2 au 4 mars 2011Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : La Guyane est un territoire particulièrement intéressant pour l'ethnobiologie, discipline de la connaissance de la nature en relation avec les cultures. Ainsi, l'utilisation des plantes médicinales pour des remèdes en automédication est une pratique en diminution selon l'âge. Cet état est dû notamment à l'érosion des savoirs, la mondialisation, la scolarisation, la sédentarisation, l'occidentalisation... Ce qui peut laisser présager une disparition de ces remèdes traditionnels. C'est pourquoi, un inventaire général est en cours, seulement les travaux ne sont pas par la suite communiqué, ainsi est né l'idée d'un ouvrage grand public traduit en wayanna. Ce projet a d'ailleurs recueilli un large intérêt participatif et un engouement local pour la transcription.Langue : FrançaisMots-clés : Conservation - Patrimoine culturel - Patrimoine immatériel - Plante médicinale - Transmission - Sciences de la vie et de la terre - Sociologie, anthropologie - Guyane Française - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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