Édouard Glissant et Le Discours antillais : de la source au delta. Introduction au colloque Auteur(s) : Aurélia, Dominique Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles Institut du Tout-Monde University of Cambridge Extrait de : "Édouard Glissant et "Le discours antillais" : de la source au delta" : colloque international, les 5 et 6 novembre 2019. Université des Antilles Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19117 | Partager |
L'IME : voici le lieu, le réceptacle, l'urne de tout ce bruit Auteurs secondaires : Arthéron, Axel Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles University of Cambridge Institut du Tout-Monde Extrait de : "Édouard Glissant et "Le discours antillais" : de la source au delta" : colloque international, les 5 et 6 novembre 2019. Université des Antilles Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19121 | Partager |
"Eduquer aujourd'hui". Pédagogie : des lieux communs aux concepts clés. Débat Auteur(s) : Meirieu, Philippe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Institut Universitaire de Formation Continue de l'Université de Guyane Description : Quelques interventions orales avec réponses de Monsieur Meirieu. Question : Quel parallèle dressé entre le milieu scolaire et le secteur social ? Les différents parallèles entre le milieu scolaire et le secteur sociale, une convergence celle d'aider le jeune à se structurer dans le milieu scolaire à travers l'acquisition des savoirs, dans le milieu sociale par l'aide à occuper une place, à stabiliser sa situation personnel, pour développer un projet dans la société. Le rôle de l'éducateur est de développer la pensée. Dans les deux cas, on se met au service de la dynamique de la personne, en respectant la spécificité de l'autre et se connaître surtout dans le travail ensemble, sur des situations difficiles. Si on veut aller au delà de la bonne organisation, si on veut que la classe soit un lieu de sérénité, de débat argumenté, un lieu ou les apprentissages soient prioritaire, il faut parfois arrêter, mettre tout le monde dans une condition d'écoute, permettre à chacun de s'exprimer. Il est nécessaire aujourd'hui que le monde dans lequel vivent nos élèves est un monde dans lequel il y a la violence qu'ils découvrent et comprennent qu'à l'école, ce n'est pas la violence qui fait la loi. Dans une étude publiée sur le site de Monsieur Meirieu : les enseignants sont assignés à beaucoup plus de fermeté linguistique, c'est la fermeté du cadre que l'on crée et au sein duquel va pouvoir se dérouler l'apprentissage. L'école est le lieu de l?exigence sur une parole claire, ferme, précise. Pour territoire comme la Guyane, il faut se donner un peu plus d'objectif : internat,de micro lycée, de transport public plus évolué, d'internat un peu mieux encadré avec une dimension pédagogique et culturelle. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17217 | Partager |
"Eduquer aujourd'hui". Pédagogie : des lieux communs aux concepts clés. Conférence Auteur(s) : Meirieu, Philippe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Institut Universitaire de Formation Continue de l'Université de Guyane Description : DU adolescents difficiles. Une dynamique particulière, celle de mettre en place au regard de ces adolescents difficiles, un partenariat efficace, une collaboration des jeunes sur le terrain. DU important pour l'université, grâce à la fondation de France, le groupe de réflexion a pu être délocalisé à Saint-Laurent du Maroni et à Saint Georges. Loi d'orientation de 1989 : l'élève doit être au centre du système. Lieux communs, utile pour mobiliser les acteurs, donner une perspective pour ouvrir des voies vers lesquels ils vont se diriger. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17175 | Partager |
Quand la chlordécone se dégrade dans l'environnement : démonstration statistique et perspectives Auteur(s) : Devault, Damien Macarie, Hervé Dolfing, Jan Auteurs secondaires : Odent-Allet, Patrick Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles IRD : Institut de Recherche pour le Développement Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2016-2017. Université des Antilles Description : Les chercheurs Damien Devault (Université Paris-Sud - Université des Antilles), Hervé Macarie (IRD-IMBE) et Jan Dolfing (Université de Newcastle) présentent l'état de la question. Ces échanges constituent un prolongement utile aux travaux du 44ème congrès du Groupe français des pesticides réuni en Martinique en 2014. Dans un article bilan publié dans Sciences au Sud, le journal de l'IRD, Hervé Macarie notait ainsi : " Lors du congrès, une équipe menée par le BRGM (...) a montré la possibilité de diminuer significativement la teneur en chlordécone du nitisol, l'un des principaux types de sols antillais concernés par ce type de contamination. L'expérience validée auparavant en laboratoire par le BRGM, est actuellement testée sur une parcelle de bananeraie en Martinique. Les premiers résultats, discutés lors du congrès, indiquent une diminution de la concentration de 54 à 68% après 94 jours..." Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16292 | Partager |
Fortune et catégorisation raciale des libres de couleur à la Martinique au XVIIIe siècle Auteur(s) : Pierre-Louis, Jessica Auteurs secondaires : Noël, Erik Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Dans la Caraïbe du XVIIIe siècle, la richesse est présentée comme un facteur d'ascension sociale et même comme un moyen de changer de catégorie sociale ou juridique pour certains Libres de couleur. À la Martinique, les actes notariés et les registres paroissiaux permettent d'accéder à cette relation entre fortune et catégorisation sociale des personnes de couleur. À ce titre, les Larcher ont édifié un des plus gros patrimoines fonciers recensés parmi les familles de couleur. Alors que Madeleine, mulâtresse affranchie, effectuait des transactions de terres pour quelques milliers de livres, ses enfants « mestifs » se sont retrouvés à la tête d'un capital de 760 000 livres. À partir de la présentation des biens possédés par cette famille et de ceux de quelques autres, nous analyserons ces liens entre catégorisation raciale et fortune à la Martinique. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16094 | Partager |
Présentation de l'AVAP de Saint Laurent du Maroni Auteur(s) : Baillon, Sophie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Extrait de : "La valorisation du patrimoine urbain dans les territoires antillais et guyanais" : journées d'étude, du 12 au 14 octobre 2016. Université des Antilles Description : Saint-Laurent du Maroni, ville de l'Ouest Guyanais, est connue pour être la ville où est implanté le camp de la transportation, ville construite « par et pour les bagnards ». Mais le Bagne est loin d'être le seul élément fondamental de la ville. La constitution géométrique du plan du « village », l'organisation de ses îlots et de ses parcelles font de Saint-Laurent du Maroni une ville exceptionnelle, un cas unique. Labellisée « ville et pays d'Art et d'histoire » en 2007, St-Laurent du Maroni a décidé de se doter d'une Aire de Valorisation de l'Architecture et du Patrimoine (AVAP) en 2012, afin de conserver, mettre en valeur et transmettre aux générations futures les éléments fondamentaux et identitaires de son centre historique. Le CAUE de Guyane propose la présentation de l'AVAP de la ville de St-Laurent du Maroni. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16278 | Partager |
Les phytothérapies des jeunes urbains guyanais Auteur(s) : Tareau, Marc-Alexandre Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Extrait de : "La valorisation du patrimoine urbain dans les territoires antillais et guyanais" : journées d'étude, du 12 au 14 octobre 2016. Université des Antilles Description : Marc-Alexandre Tareau s'intéresse aux phytothérapies contemporaines guyanaises, une approche ethnobotanique et ethnomédicale d'une pharmacopée métissée. Il s'intéresse aux circulations du savoir et à l'usage des plantes qui caractérisent ces pharmacopées dans le contexte interculturel de la Guyane française. Dans cette présentation, M. Tareau s'interroge sur la pratique de la phytothérapie chez les jeunes guyanais : utilisent-ils encore des plantes pour se soigner et dans quelle mesure ? Quelles sont les vertus de ces plantes et sous quelle forme sont-elles utilisées ? Comment se procurent-ils ces plantes ? De plus, ce jeune chercheur analyse les différentes méthodes de soins utilisées par différentes générations, des plus anciennes aux plus jeunes. Il observe ainsi comment les approches contemporaines sous-tendent un entre-deux entre la médecine traditionnelle et la médecine moderne. Selon lui, la pharmacopée traditionnelle de Guyane se maintient relativement bien chez les jeunes et d'autres pratiques et espèces font leur apparition à travers l'installation de nouvelles populations en milieu urbain. Il soutient que la phytothérapie n'est pas quelque chose de figé et de statique, mais au contraire elle suit un univers culturel en perpétuelle évolution et en constante mutation Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16282 | Partager |
La perception des gens de couleur par les Nantais à la fin du XVIIIe siècle Auteur(s) : Michon, Bernard Michon, Bernard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Capitale française de la traite négrière tout au long du XVIIIe siècle, le port de Nantes doit une bonne part de son développement aux échanges croissants avec les colonies de plantation. Le recours à la main d'oeuvre servile est dès lors présenté comme une impérieuse nécessité, bien mise en évidence dans le témoignage de Listré, un Nantais devenu avocat au Cap-Français, au nord de l'île de Saint-Domingue. Cétait en Afrique qu'on allait chercher les cultivateurs. On ne saurait s'en passer sans renoncer aux Colonies. La montée d'un courant de pensée hostile à l'esclavage, évidemment peu perceptible dans une place comme Nantes, ajoutée aux vives tensions traversant les sociétés coloniales et surtout à la Révolution noire de Saint-Domingue, conduisent les Nantais à justifier dans divers écrits ce système vacillant. La communication s'intéresse surtout à la manière dont ces Nantais, appartenant majoritairement au monde du négoce mais aussi à celui des navigants, présentent les Noirs et gens de couleur. Au-delà de la diversité des populations ? rois et courtiers africains, esclaves et libres de couleur ?, il s'agit de mettre en évidence la radicalisation du discours et ses causes fondamentales. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16098 | Partager |
Propriétaires de couleur à la Guadeloupe Auteur(s) : Régent, Frédéric Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Dans le rôle d'imposition de 1664, « plusieurs nègres libres », à l'instar de Jean Sence, du quartier de la Rivière-à-Collas jusqu'à l'Anse à la Barque (actuelle commune de Bouillante en Guadeloupe), sont maîtres de case. Dans le dénombrement de 1671, Jean Sence (écrit aussi Sanse) possède deux esclaves. Il est donc attesté dès le XVIIe siècle que des non-Européens possèdent des esclaves ou des terres. Au début de la Révolution française, ce sont environ 5% des esclaves qui appartiennent à des libres de couleur. Cette contribution s'intéressera à la constitution de cette catégorie de propriétaires jusqu'à la première abolition de l'esclavage, à partir de l'étude des recensements, des actes notariés et des registres paroissiaux. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16095 | Partager |
Basse-Terre, 20 ans de label ville d'art et d'histoire Auteur(s) : Sandoz-Demonio Oriane Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Extrait de : "La valorisation du patrimoine urbain dans les territoires antillais et guyanais" : journées d'étude, du 12 au 14 octobre 2016. Université des Antilles Description : La ville de Basse-Terre est sous convention avec le ministère de la culture depuis 1995 pour la mise en valeur de son patrimoine, par le label « Ville d'art et d'histoire ». En 2015 la ville a célébré les 20 ans de l'obtention de ce label. Basse-Terre a pu, durant ces 20 ans, développer des projets marquants : la réhabilitation et l'exposition des toiles de Georges Rohner, un vaste inventaire de son patrimoine, restitué sous la forme d'une publication : « Basse- Terre, patrimoine d'une ville antillaise » sous la direction de M E Desmoulins, des ateliers de création et de sensibilisation. La ville s'est dotée d'un espace d'interprétation destiné à la promotion de son label : la maison de l'architecture et du patrimoine. Situé au coeur du centre ancien, ancienne demeure de négociant du XIXe siècle, le site a bénéficié d'une restauration en 2002. L'avenir du label passe par le renouvellement de la convention prévu en 2017. De nombreux projets sont en cours : signalétique patrimoniale, exposition permanente, développement du tourisme patrimonial. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16280 | Partager |